1. De chaudes études - 1


    Datte: 04/06/2020, Catégories: fh, jeunes, école, pénétratio, totalsexe, Auteur: Jenny Pirate, Source: Revebebe

    ... comprends.
    
    Ce que je vois, c’est Myriam, une nouvelle qui est arrivée la semaine dernière seulement, totalement nue et assise sur le bureau, avec la tête d’un homme entre les cuisses. Je le vois s’activer sur l’entrejambe de Myriam sans pouvoir distinguer son visage, et j’entends les gémissements de plaisir qu’elle pousse à chaque nouveau coup de langue de son partenaire. Cette scène, je ne l’aurais peut-être même pas comprise il y a six mois seulement ! Mais tout a changé depuis trois semaines. Maintenant, je sens des fourmillements de désir monter dans mes reins, je sens la moiteur poindre entre mes cuisses, et surtout je sens la jalousie de ne pas être à la place de cette petite Sainte-Nitouche. Insensiblement, je me suis encore approchée de l’ouverture de la porte, glissant une de mes mains sur le battant tandis que l’autre se dirige lentement vers ma poitrine. Soudain, je sens quelque chose de long et dur se coller à mes fesses. Ce spectacle me l’avait presque fait oublier, mais mon camarade a l’air d’être tout aussi émoustillé par ce qu’il voit… et, je l’espère, aussi par mes petites fesses bien rondes et fermes que je commence à faire aller et venir contre son membre, à travers son pantalon.
    
    — On dirait que ça te fait de l’effet, ma cochonne, me susurre-t-il à l’oreille.
    
    Et à qui ça n’en ferait pas ? Et à lui-même, ça n’en fait pas peut-être ? J’ai l’impression que son caleçon va se déchirer tant son érection est forte. Et ça, ça n’arrange pas mon état.
    
    — ...
    ... Toi non plus ça ne te laisse pas de marbre ! que je lui réponds, continuant mes mouvements de bassin.
    — Que veux-tu, je suis un mec ! Et un mec, ça a des besoins, ajoute-t-il en glissant ses mains sous mon haut, une par-dessus, l’autre par dessous.
    
    Il commence alors à me couvrir la nuque de baisers, et je sens son souffle chaud au creux de mon cou déchaîner un véritable ouragan en moi.
    
    — Alors, qu’attends-tu, lui dis-je en essayant de ne pas haleter trop fort, ce n’est pas bon de rester sur sa faim…
    
    Délaissant un instant ma poitrine, il relève totalement mon haut et défait mon soutien-gorge, libérant mes deux gros seins dont les pointes partent vers le ciel. Puis, continuant à m’embrasser de partout, il glisse ses mains sous ma jupe. Règle numéro un à l’université : toujours en jupe ; on ne sait jamais ce qu’il peut vous arriver dans la journée, alors autant se montrer prévoyante, n’est-ce pas mesdemoiselles ? Il descend mon string en se mettant doucement à genoux et en parcourant toute ma colonne vertébrale de sa langue, et j’arrive tout juste à retenir un petit cri lorsqu’il me mord la fesse. Il s’attarde un instant, une main entre mes cuisses, titillant mon intimité… docile, je me laisse faire, cambrant les reins pour lui offrir mon petit cul juste sous le nez. Je sens que s’il ne me prend pas très vite, je ne répondrai plus de rien !
    
    En face, la situation a évolué. La respiration de Myriam s’est accélérée, elle a gémi de plus en plus fort et tendu tout son ...
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