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La Surprise
Datte: 04/06/2020, Catégories: Accouplements Érotiques, Auteur: byJipai, Source: Literotica
... suis gourré trois fois sur la route à prendre, me suis énervé à la recherche de panneaux indicateurs mais finalement, un paysage plus familier m’est apparu dans le pinceau blanc de mes phares et je suis rentré sans encombre à notre pavillon. Ma mère a ronflé tout le temps du trajet, elle faisait plus de bruit que le moteur par moment et ma colère se retournait vers elle. « Ta gueule! » je lui lançais quand elle ronflait trop fort et je lui fichais un coup de coude dans les cotes histoire de lui faire changer de position. Mais rien n’y faisait et elle ronfla tout le temps que dura notre retour. Arrivé devant le garage, je me suis demandé comment j’allais faire pour la sortir de là. Un moment je me suis dit que j’allais la laisser cuver dans la bagnole histoire de lui faire voir ma rogne. Et puis non, un reste d’humanité m’en a dissuadé. Je suis allé ouvrir la porte de la maison et je suis revenu à la tire, j’ai ouvert sa porte et je l’ai prise dans mes bras pour la tirer du siège. Ouf!! Elle pèse son poids cette nana! J’ai assuré ma prise et d’un coup de saton j’ai fermé la portière, puis j’ai remonté l’allée de gravier et je suis entré chez nous avec ma mère dans les bras comme une mariée franchit le seuil de sa nouvelle demeure le soir de ses noces. En fait de noce, je ne savais pas encore ce qui nous attendait! Elle était contre moi et je sentais sa poitrine contre la mienne, la chair douce de ses seins s’imprimait sur ma poitrine à travers ma fine chemise. ...
... Elle avait les nichons fermes, c’est la réflexion que je me fis tout en la menant vers sa chambre. La montée de l’escalier absorba toute mon attention et c’est arrivé sur le palier la haut que je m’aperçus que je bandais. D’un coup de coude j’ouvrais la porte de sa chambre et c’est avec un profond soupir que je la balançais sur le lit plus que je ne la déposais. Je repris mon souffle un instant, l’effort avait été rude et je haletais comme après une course de fond. Je regardais ma mère affalée en travers du lit, le remue ménage ne l’avait même pas fait ouvrir un œil. Elle poursuivait ses ronflements de plus belle, ne s’était rendu compte de rien. Et puis ma bandaison m’est revenue en mémoire, j’avais une bosse à l’avant de mon futal. Mon regard allait de mon pantalon à ma mère toujours étalée en travers du plumard. « Bon sang! C’est ma mère qui me fait bander comme ça! » L’idée a traversé mon esprit avant que je ne me pose la question suivante : « Et maintenant je fais quoi? » « Je ne peux pas la laisser comme ça! Il faut que je la mette au pieu! » Rien qu’à cette idée j’ai bandé plus fort. J’ai regardé ma mère profondément endormie. Je me suis avancé, j’ai pris son épaule, je l’ai secouée, j’ai appelé de plus en plus fort « maman! » Rien n’y a fait. Le mélange l’alcool et de barbituriques qu’elle avait ingurgité la rendait inconsciente. Ma main a glissé sur son corsage, j’ai caressé ses seins. Elle était bien pourvue en nichon ma mère, j’avais eu ...