En formation à Paris
Datte: 08/04/2018,
Catégories:
ffh,
Collègues / Travail
hotel,
rasage,
jouet,
Auteur: Laurepeggy, Source: Revebebe
... d’après-midi, j’engage une conversation un peu plus personnelle avec notre formatrice : sa vie parisienne, son travail qui lui fait rencontrer beaucoup de monde… Elle m’envoie un grand sourire en précisant ce point. Voyant cela, ma collègue est prête à éclater de rire.
Il semble que ce moment ait été comme un déclic pour notre formatrice. A-t-elle senti que j’étais réceptif à son sourire ? Elle passe la fin de l’après-midi à m’aguicher discrètement. Cela commence par de nombreux jeux de jambes qui laissent apercevoir le haut de ses bas comme je l’imaginais. Puis elle vient de nombreuses fois vérifier mon travail en se mettant bien en face pour me laisser admirer son décolleté. Pour finir, j’ai senti sa main effleurer mes fesses lorsque nous quittions la salle à la fin de la journée. À cet instant, j’ai compris que j’avais perdu mon pari.
Dès la sortie de la salle, j’ai vu que ma collègue avait un très grand sourire, elle aussi a compris qu’elle avait gagné :
— J’ai gagné. De toute façon, j’ai toujours raison. Je te dirai ton gage demain matin.
— C’est pas de ma faute, je suis irrésistible.
— Ou alors, elle est vraiment en manque.
— Pfff, on fait comme hier, on se retrouve à 20 heures pour dîner ?
— OK, et ne sois pas en retard, ironise-t-elle.
De retour dans la chambre, je file sous la douche pour enlever la pollution parisienne et me changer. Sous la douche, je repense à tout cela, et j’ai toujours des difficultés à admettre qu’une aussi jolie femme soit ...
... attirée par mes charmes, mais repenser à ce corps m’excite un peu et l’idée de me masturber me traverse l’esprit. Mon téléphone sonne, je sors de la douche en vitesse. Un message de ma femme, je la rappelle. Je lui raconte ma journée, elle aussi. Je lui confirme qu’elle me manque, n’étant pas habitué aux séparations. Bien sûr, je n’évoque pas l’opération séduction de la formatrice. Je retourne dans la salle de bain finir de m’habiller et de me préparer. Nouveau message sur mon téléphone, probablement ma femme qui a oublié de me dire un truc.
Non, c’est ma collègue, que veut-elle ? Probablement me prévenir qu’elle sera en retard pourtant, il est loin d’être 20 heures:
Je finis de me préparer en réfléchissant à ce qu’elle peut vouloir. Si elle a besoin de quelque chose, elle pourrait appeler la réception, je ne suis pas là pour faire du bricolage.
Je descends les deux étages qui séparent nos chambres et frappe à sa porte.
— Que t’arrive-t-il ?
— Rien de grave, je vais t’expliquer, j’ai besoin d’un avis.
Elle aussi s’est douchée et changée, on sent encore l’odeur du shampoing venant de la salle de bain et ses cheveux sont à peine secs. Elle porte un jean assez moulant et un petit chemisier très sympa. J’avais déjà remarqué sa poitrine très attirante, mais cette tenue lui va à ravir et met tout son corps en valeur.
— Assis-toi.
Elle s’assoit sur son lit en face de moi et semble un peu gênée. Il est vrai que l’on ne se connaît pas beaucoup et que l’on parle ...