En formation à Paris
Datte: 08/04/2018,
Catégories:
ffh,
Collègues / Travail
hotel,
rasage,
jouet,
Auteur: Laurepeggy, Source: Revebebe
... deuxième photo.
— C’est à dire ?
— On fait une première photo, genre photo volée, mais où l’on voit très peu mon décolleté. Vous lui envoyez, elle dira que c’est nul et que vous avez perdu. Puis pour lui prouver l’inverse, on fait une photo où j’ouvre entièrement mon chemisier. Et là, elle ne pourra pas dire que vous avez perdu.
— C’est excellent. On fait cela où ?
— Ici, mais vite, dépêchez-vous, sortez votre téléphone.
Nous voilà partis pour une petite séance photo improvisée. On se met dans un coin de la salle au cas où ma collègue reviendra et nous faisons les deux photos prévues. Ce n’est pas du grand art, mais sur la deuxième, on voit très bien la magnifique poitrine de la formatrice soutenue par un très sexy soutien-gorge qui lui fait un décolleté à ravir. J’y plongerais volontiers.
À peine ai-je eu le temps de vérifier la photo qu’elle s’est déjà reboutonné… dommage !
— Par contre, je vous fais confiance pour ne pas diffuser cette photo n’ importe où.
— Non promis, je la garde pour moi. Vous êtes magnifique.
Notre petit jeu terminé, nous allons en pause prendre un café.
La formation reprend et j’en profite pour envoyer la première photo par SMS sur le téléphone de ma collègue.
Le stratagème fonctionne à merveille. Elle me répond par message que l’on ne voit rien de bien et que cela ne justifie pas ma victoire. En retour, je lui demande si j’ai droit à une deuxième chance. Elle accepte et m’autorise à lui envoyer une autre photo, mais avant ce ...
... soir 16 h.
Je décide de la laisser attendre et d’envoyer l’autre photo plus tard.
La journée continue tranquillement avec toujours le petit jeu de la formatrice qui vient s’exhiber devant moi et qui a tendance à laisser ses mains frôler mes épaules lorsqu’elle passe derrière moi. Après réflexion et au point où j’en suis dans ma fidélité, j’aurais dû succomber à ses avances, car elle est chaude comme la braise. Tant pis, cela restera un fantasme, c’est probablement mieux ainsi.
Pendant la pause de l’après-midi, j’informe discrètement la formatrice de l’avancement de notre petit jeu et je lui dis de regarder ma collègue vers 15 h 55, heure à laquelle je lui enverrais la deuxième photo.
Vers 15 h 50, j’engage la conversation avec ma collègue par message:
— Jusqu’à quelle heure ai-je le droit de t’envoyer une photo pour gagner le pari ?
— J’avais dit 16 h. Dépêche-toi, mais cela sent la défaite…
— Non, je gagnerai.
La formatrice remarque notre discussion et me sourit.
— Il va falloir que tu sois très fort pour gagner vu l’heure qu’il est. À moins que tu lui arraches son chemisier, je ne vois pas comment tu vas faire.
— OK, cela me va… tu vas être surprise…
Avec ce dernier message, je joins la deuxième photo de la formatrice sans son chemisier. En même temps, je fais un petit clin d’œil à la formatrice pour qu’elle comprenne.
Je peux suivre la surprise de ma collègue lorsqu’elle découvre la photo. Elle reste un instant, puis semble vérifier qu’il ne ...