En formation à Paris
Datte: 08/04/2018,
Catégories:
ffh,
Collègues / Travail
hotel,
rasage,
jouet,
Auteur: Laurepeggy, Source: Revebebe
... mouvements. Je viens poser ma deuxième main sur son clitoris afin de l’exciter au maximum. Sa réaction ne se fait pas attendre, elle gémit maintenant de façon forte et régulière à chaque mouvement de mes doigts.
Elle semble apprécier cette simple caresse, je décide donc de ne pas brusquer les choses, même si j’adorerais y goûter en accompagnant mes doigts de ma langue. Pour consolation, ma position me permet de pouvoir admirer son visage et tout particulièrement quand elle atteindra l’orgasme.
Mes doigts glissent tout seuls en elle et j’alterne les mouvements lents et rapides. Son ventre se contracte à chaque fois que je vais au plus profond d’elle. Elle doit vouloir profiter au maximum de ces caresses, car elle n’accompagne pas mes doigts avec des mouvements de son bassin. Elle se laisse totalement faire, entièrement offerte. Je l’observe, ne manquant aucune réaction de plaisirs jusqu’au plaisir ultime. Son visage se fige, les yeux fermés, la bouche entrouverte puis tout se relâche dans un long gémissement. Elle est a-craqué quand elle a joui. J’ai pu ressentir les mêmes contractions au niveau de son sexe. Je retire mes doigts, chauds et détrempés. Je profite qu’elle a toujours les yeux fermés pour les lécher et goûter son plaisir. Elle finit par rouvrir les yeux avec un petit sourire :
— Je crois que l’on a fait une grosse bêtise.
— Oui, c’est clair…. Tout ça à cause d’un mal de dos.
Cela nous amène à un dur retour à la réalité et une certaine gêne s’installe. ...
... Je décide de la laisser.
— Je te laisse, ce sera mieux ainsi. On se retrouve tout à l’heure pour manger.
— OK. Merci.
Je remonte dans ma chambre avec un besoin terrible de me soulager. La voir ainsi offerte et jouissant sous mes caresses m’a fortement excité.
Je profite de la douche pour me soulager. Il y avait très longtemps que je n’avais pas eu ce genre de caresse. Mais là, j’avais vraiment trop envie.
L’après-douche est un dur retour à la réalité. J’ai plusieurs messages de ma femme. Je l’appelle, lui raconte quelques banalités sur ma journée. Bien évidemment, aucune allusion à ce qui vient de passer. Je viens quand même de quasiment la tromper. Si elle le découvre, je peux lui dire adieu.
On se retrouve comme prévu au pied de l’hôtel pour aller dîner.
— On va manger où ?
— Où tu veux.
L’accueil est plutôt froid. Mince, aurais-je tout gâché ? Si c’est le cas, tant pis, au moins j’aurais eu un beau spectacle.
On avance sans un mot dans les rues de la capitale et on s’installe dans le même endroit que la veille. Nous serons ainsi très au calme.
Je brise le silence :
— Je t’offre un verre pour te remercier ?
— Remercier de quoi ?
— De ce que tu m’as offert.
— Je crois que l’on en a tous les deux bien profité. Moi, même beaucoup plus que toi, d’ailleurs. C’est moi qui devrais te remercier.
— Cela t’a plu alors ?
— Oui, comment ne pas apprécier.
— Je sais pas, tu avais l’air gênée après et quand on s’est retrouvé devant l’hôtel.
— J’avais ...