1. En formation à Paris


    Datte: 08/04/2018, Catégories: ffh, Collègues / Travail hotel, rasage, jouet, Auteur: Laurepeggy, Source: Revebebe

    ... rattraper les dégâts ?
    — Tu fais ça comment habituellement avec ta femme ?
    — C’est pas dur, sur le lit avec une serviette dessous pour pas tout salir, un rasoir ou une petite tondeuse et éventuellement un gant de toilette pour nettoyer le tout.
    — C’est mieux qu’une professionnelle. Et tu penses pouvoir me faire un petit cœur ?
    — Faut voir s’il y a matière. Par contre avec un simple rasoir, ça va être délicat, mais on peut essayer.
    
    Bien motivé par cette expérience, je file dans la salle de bain récupérer une serviette et le rasoir. Quelque chose me turlupine. Elle a quand même accepté très facilement, attend-elle autre chose de moi ? La tâche s’annonce très délicate, il faut que j’arrive à lui faire plaisir tout en veillant à ne pas être trop excité, car cela risquerait de se voir. Mais bon, il faut que j’en profite, ce n’est pas tous les jours que je pourrai poser mes doigts sur le sexe de ma collègue.
    
    Je reviens à proximité du lit avec ma serviette et le rasoir.
    
    — Vas-y, installe tout, dis-moi comment faire, c’est toi le professionnel, me dit-elle fièrement, mais un peu gênée quand même.
    
    Je m’assois à sa droite au niveau de ses cuisses.
    
    — Lève un peu tes fesses que je glisse la serviette dessous.
    
    J’ironise pour détendre la situation en ajoutant :
    
    — Attention de ne pas te faire mal au dos…
    — Très drôle, réplique-t-elle.
    — Je crois que l’on arrive au moment où il faut que tu te dévoiles. Tu es vraiment sûre ? Car après cela, notre amitié sera ...
    ... définitivement ruinée.
    — Avec tout ce que tu as vu de moi, je pense que tout est déjà ruiné.
    
    En prononçant cette phrase, elle relève le bas de sa serviette et écarte légèrement les cuisses laissant apparaître son sexe recouvert d’une toison, disons particulière… J’admire cette toison assez abondante. On peut voir sur la partie supérieure, des traces de rasoir maladroites qui sont très loin d’avoir formé un cœur.
    
    — Surtout, si ça ne va pas ou si je te fais mal, il faut me le dire.
    
    Je pose ma main gauche sur le bas de son ventre et approche le rasoir sur le haut de sa toison. Dès le début, je comprends que je n’arriverai à rien de bien avec cela, surtout à sec sans crème ou mousse.
    
    — Je vais te faire mal comme ça, tu n’as pas de la crème ou de la mousse ?
    — Non, j’ai rien emmené, ce n’était pas prévu au programme.
    
    Une idée me traverse l’esprit.
    
    — J’ai une petite tondeuse sur mon rasoir électrique, je pense que cela pourrait être mieux, au moins pour le début et pour essayer de faire quelque chose qui ressemble à un cœur.
    — Pourquoi pas, au point où l’on en est…
    
    Je file dans ma chambre récupérer mon rasoir. Et dire que ce matin il me servait à raser ma barbe… En passant dans ma chambre, je jette un coup d’œil à mon téléphone. Mince cinq appels en absence de ma chérie et deux SMS. J’envoie un petit mot en trouvant une excuse bidon et je retourne à ma tâche.
    
    En revenant dans la chambre, ma collègue n’a pas bougé et est toujours dans la même position : allongée, ...
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