1. Tout a commencé par un gâteau (3)


    Datte: 03/06/2020, Catégories: Transexuels Auteur: Miss Arthur, Source: Xstory

    ... les utilises ?
    
    — Euh, oui, de temps en temps...
    
    — Dans ton cucul ?
    
    — Oui...
    
    — Et tu aimes cela ?
    
    — Oui...
    
    — Et le gode-ceinture ?
    
    — C’est dans l’espoir qu’un jour une femme me prenne avec...
    
    — Compte tenu de nos ébats avec Martine, tu aurais pu nous le demander, cela aurait été avec plaisir...
    
    — Je n’ai pas osé, mon image de mâle en aurait pris un coup !
    
    — Stéphane, je t’aime comme tu es...
    
    — Merci.
    
    Là-dessus, nous nous embrassâmes avec passion.
    
    — Déshabille-toi ! Lui dis-je. Mais garde tes bas et ton porte-jarretelles !
    
    Stéphane se leva et s’exécuta. Il était là, nu devant moi, la bite déjà en érection. J’ôtai le gode de ma chatte et le lui tendis :
    
    — Lèche-le !
    
    Stéphane pris le gode luisant de ma mouille et le porta à sa bouche. Il se mit à le sucer en bonne et due forme comme s’il s’agissait d’une vraie bite : il y prenait visiblement du plaisir. Pendant ce temps, je ceignis le gode-ceinture à ma taille, tout en gardant le plug dans mon anus : la lanière centrale du gode-ceinture maintenait ce dernier dans sa position. Cela me faisait drôle d’avoir cette bite en érection devant moi, nouvelle virilité acquise à titre temporaire... ... mais qui ne débande pas !
    
    Je m’assis au bord du lit et demandai à Stéphane de venir me lécher la bite noire du gode-ceinture. Il s’agenouilla devant moi et entrepris aussitôt sa fellation. Je caressai sa tête et ses cheveux, accompagnant parfois son mouvement alternatif lorsqu’il pompait la ...
    ... fausse bite.
    
    Je finis par interrompre le processus, l’invitant à venir à quatre pattes sur le lit pour que je commence à lui préparer sa rondelle. Je fus généreuse avec le tube de gel dont le contenu se retrouva à la fois sur son anus et sur ma fausse bite. Je lui massai l’orifice et introduis un doigt, puis deux ; je trouvai son sphincter très souple et après lui avoir posé quelques bisous sur son postérieur lui proposait de passer aux choses sérieuses. Dès que le gland du gode entra au contact de son petit trou, son dos se cambra comme pour mieux préparer l’angle d’attaque. Je fis une première poussée légère pour mieux l’habituer et faire passer le premier réflexe de douleur, puis repris ma pénétration. Stéphane soufflait fort et gémissait, il m’implora maintenant de le labourer :
    
    — Prends-moi, encule-moi, c’est trop bon, je suis ta chose, je suis ta pute...
    
    J’entamai mes va-et-vient dans son cul, mes mains posées sur ses hanches. C’était une sensation nouvelle pour moi d’enculer un homme et je dois dire que j’appréciai de sentiment de domination masculine. Je me dis toutefois que le gode-ceinture que nous avions acheté avec Martine devait amener plus de sensations car équipé d’un gode interne pour le vagin. D’un autre côté (c’est le cas de le dire), j’avais gardé le plug dans mon fondement et cette pénétration rythmée par mes propres mouvements me donnait tout de même un supplément de sensation. Tout en continuant à limer le cul de Stéphane, je passai une main vers ...
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