1. Hélène 34. Vilaine, deuxième partie.


    Datte: 03/06/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Rouge, Source: Hds

    ... sur les miennes, je m’ouvre, sa langue me fouille, comme sa main tout à l'heure.
    
    Elle se noue à la mienne. Il plaque sa main sur ma nuque, il me penche légèrement en arrière, il me soutient au creux de mes reins. Les mains liées dans le dos, je m'abandonne totalement. C'est un vrai baiser d'amoureux. Il dure une éternité.
    
    Nous nous désunissons, je suis pantelante, je m'appuie sur son épaule, je reprends mon souffle.
    
    Il me guide jusqu'au divan, et me fait m'agenouiller. Ensuite, il m'allonge à plat ventre, le menton sur l'accoudoir. Il prend sur la table quelques liens de cuir et attache chacun de mes poignets à mes chevilles.
    
    Il se saisit du martinet et se place face à moi.
    
    - Ouvre ! M'ordonne-t-il, en se débraguettant.
    
    Docile, j'écarte mes mâchoires en grand. Je suis heureuse…
    
    J'aime la fellation. Je ne jouis pas de la bouche, comme je jouis de ma chatte, de mon clitoris, ou de mon anus.
    
    Mais j'aime sentir, entre mes lèvres, la divine bite de mon seigneur, je me sens possédée, J'adore me sentir forcée, surtout s'il se pousse à fond, jusqu'à m'étouffer. Et puis, je raffole du gout de son sperme.
    
    Je l'embouche, j'enroule ma langue autour de son gland, mais il poursuit sa pénétration buccale jusqu' à ma gorge. Il s'arrête, son membre m'asphyxie, je suffoque, ma glotte se contracte.
    
    Shlac, le martinet s'abat sur mon glorieux popotin. Je sursaute, je veux crier, mais je suis bâillonnée.
    
    Charitable, il se recule et me laisse respirer. Puis il ...
    ... s’avance à nouveau. Je l’aspire.
    
    Une douleur soudaine me brule le cul. Je dois me crisper pour ne pas le mordre. Il me fouette à nouveau, son membre étouffe mon cri. Il synchronise ses allers et retours avec ses cinglées. Chaque fois que je m’étouffe, il me cingle
    
    En un instant, je comprends qu’il va conduire son plaisir avec le martinet.
    
    Machinalement, je compte les cinglées. Vingt, Vingt et une, je reprends mon souffle.
    
    Il continue… Vingt-deux ! A cet instant, je comprends qu’il ne s’arrêtera qu’une fois vidé. Et j’ai déjà l’expérience de son endurance.
    
    Il pose le martinet, il glisse une main sous ma gorge et l’autre derrière ma nuque, il me bloque le nez dans son foin.
    
    Je sens qu’il va partir, il se raidit et se pousse à fond. Je m’étrangle, sur ma langue, je sens la pulsation du canal éjaculateur.
    
    Il se recule et ne laisse que son gland entre mes lèvres. Je caresse son méat de ma langue. La puissance de son jet la repousse. Il éjecte sa crémé salée. Son éjaculation ne tarit pas, sa production est énorme, inhabituelle. J’ai la bouche pleine. Puis le flux s’arrête, mon chéri se recule. Je gaine sa queue pour ne rien laisser échapper. Il se dégage et s’agenouille.
    
    Je plonge mon regard dans le sien. Je fais tourner ma langue pour répartir son délicieux sperme contre mon palais. Je le fixe dans les yeux, et j’entrouvre mes mâchoires. Comme une bonne salope, je lui montre son jus mélangé à ma salive, et j’avale. Il sourit, complice.
    
    Il m’attrape à bras le ...