L'Île de Marana Chapitre 14
Datte: 02/06/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: byOmegaNu, Source: Literotica
... Une fois par mois des prêtresses me masturbent. Les dernières fois, j'étais attaché et fouetté alors que deux prêtresses me masturbaient. J'ai vu des milliers et des milliers de grandes femmes noires, j'ai été exposé dans des plaines avec des milliers de femmes à la fois, et chaque jour c'est plus dur, mais je me plais beaucoup. J'adore cette vie, et je peux visiter des mondes magiques et incroyables.
Un matin, nous arrivons en vue de la petite ville de départ.
— Tu reconnais? Me demande T'Asha.
— Oui maitresse.
— Nous avons tout visité. Ton voyage a duré 6 ans.
— 6 ans? Mais je n'ai même pas grandi, je suis toujours un garçon de 15 ans, je devrais en avoir 21.
— Je t'ai dit que tu étais immortel, esclave des déesses. Tu ne changeras plus.
Lorsque nous retournons au poste de police, mes affaires ne sont plus là.
— Pauvre Arno, me dit T'Asha. Tu n'as vraiment plus rien. C'est mieux pour un esclave.
Elles me laissent et rendent mon laisser-passer à la police. Etant donné mon statut, elles acceptent de me ramener au port principal.
— Vous me laissez retourner chez moi? M'étonné-je alors qu'on me conduit vers un bateau qui semble être celui qui m'avait amené, il y a déjà si longtemps.
— Temporairement, Arno. Des événements doivent se passer, et nous devons être entre nous. Mais les déesses veilleront sur toi.
Je retrouve même mon sac et toutes mes affaires. Incrédule, je me demande si je peux m'habiller, si ce n'est pas un truc pour me punir. ...
... Fébrilement, j'ouvre mon sac et retrouver tout ce qui m'appartient, y compris mon iPhone et le matériel confisqué lors de mon arrivée. Mon iPhone, souris-je. Pendant tout ce temps, il doit être devenu une pièce de musée. Ils doivent bien être à l'iPhone 20 maintenant, avec IOS 25.
Je n'en crois pas mes yeux, je l'allume et il y a encore de la batterie, presque 100%. Sans me faire voir, j'appuie plusieurs fois sur le déclencheur, j'aurai quelques photos de ce pays Marana.
Plusieurs femmes viennent me saluer. Elles m'embrassent.
— Nous nous reverrons bientôt, Arno, plus tôt que tu le penses.
— Tout le monde me croit mort chez moi. Depuis tout ce temps...
— Nous ne pouvons te garder ici, mais ce ne sera pas long.
— Habille-toi, me conseille Cor'Y, elles ne sont pas habituées en dehors de l'île.
C'est bizarre, je suis habillé maintenant, je monte sur le bateau, je vois des femmes de ma taille. Pendant que le bateau s'en va, je reste appuyé au bastingage pour voir l'île disparaitre progressivement. Bientôt, elle n'est plus là, comme à l'arrivée. Elle était apparue.
Qu'est devenu le monde depuis ces six longues années? Je regarde mes photos sur mon appareil. La date n'est pas de six année plus tard, elle est d'un mois plus tard, il n'y a qu'un mois entre ma dernière photo aux Bahamas et celle que je viens de prendre à Marana.
Aurais-je rêvé?
Je dois être fou. Nous sommes au mois d'aout, la même année de mon arrivée sur l'île. Et pourtant, j'ai bien vécu ...