Viols au lycée 02
Datte: 02/06/2020,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica
... que je te fasse un petit bâtard noir? Grommelait-il sachant pertinemment qu'arrivée à ce point elle voudrait le garder dans son ventre.
Evelyne était désespérément en manque de satisfactions sexuelles, elle agrippa son cou, ses jambes se nouant dans son dos, alors que sa petite culotte pendait misérablement accrochée à une de ses chaussures.
- Non... Nonnnn... Ne te retire pas... J'en ai trop besoin... Oui... Oui... Oh oui... Jouis... Jouis dans mon ventre... Fais moi un bébé noir... Engrosse moi avec ta grosse bite noire... Mon Dieu... Donne moi tout... Ohhh, ouiiiiiiiiiiiii... hurlait Evelyne alors que des étincelles s'allumaient dans sa tête ponctuant les chaudes explo-sions au fin fond de son utérus fertile.
Quelques instants plus tard, elle était étendue sur le froid plancher de la bibliothèque, le musculeux noir vautré sur elle, sa bite glissant lentement hors de sa chatte avec un sonore plop.
Ils se déshabillèrent alors mutuellement explorant minutieusement leur corps des mains et des lèvres, pour terminer en un classique 69
André savait que la somptueuse bibliothécaire attendait qu'il la reprenne à nouveau, elle haletait comme une chatte en chaleur, espérant qu'il allait la reprendre aussi brutalement que la première fois.
Il voulait plaire à cette jeune et innocente salope, il aurait aimé que le jeune blanc qui lui avait offert cet anneau de fiançailles assiste à leurs ébats, qu'il constate la pureté de sa ravissante promise.
Se souvenant de ...
... la façon dont elle avait joui lorsqu'il l'avait violé six se-maines plus tôt, il décida de la défoncer de la même façon.
Evelyne sentit un frisson lui parcourir la colonne lorsqu'il la disposa à quatre pattes, elle se souvenait à quel point il avait été brutal lorsqu'il l'avait baisée comme une chienne ne chaleur.
Elle se remémorait son humiliation alors que le reste du gang hurlait des encouragements tandis qu'André la prenait en levrette. Elle se souvenait comment André lui même s'était mis à hurler sa victoire alors qu'il l'em-plissait de foutre.
- Ohhhhhhhhh... Ohhhhhhhh, mon Dieu... Ohhhhhhhhh... Baise moi... Baise moi comme la salope que je suis... Pantelait-elle alors qu'il s'engouffrait à cous de boutoirs violents dans sa fou-foune asservie.
Vingt minutes plus tard, ils gisaient effondrés sur le sol, corps emmêlés, bras et jambes entrelacés. André se releva alors qu'elle lui éteignait fer-mement le cou, la gardant dans ses bras.
Puis il l'assit sur la table de consultation, elle lui enserrait toujours le cou de ses bras, ils s'embrassèrent avec passion. Bouches grandes ouvertes, langues explorant mutuellement leurs bouches, elle assura son emprise autour de son cou encerclant son torse de ses cuisses.
Lorsqu'ils cessèrent leurs patins passionnés, Evelyne sentit qu'il baisouil-lait son cou puis qu'il descendit lui cueillir un téton entres ses dents.
- Ohhhhhh, ouiiiiiiiiiiiii... Ohhhhhhhh... Roucoulait-elle alors qu'il mordillait ses tétons si ...