1. Comme vous et moi... ou presque !


    Datte: 08/04/2018, Catégories: hhh, fhhh, vidéox, facial, Oral 69, pénétratio, double, Partouze / Groupe journal, Auteur: Fwm, Source: Revebebe

    ... permission, sans préliminaire pour ainsi. Comment faisait-il pour rebander aussi vite ? Certes, nous nous étions un peu caressés ; mais de là à me posséder à nouveau aussi vite, c’est exaltant ! Après un violent trio, un homme seul qui me touche et me pénètre… C’en était apaisant et je fermai les yeux de volupté au contact de son sexe dans mon vagin. C’est ainsi que je ne vis pas arriver le deuxième qui s’installa derrière lui et, d’un coup, l’encula.
    
    Je ne le vis pas sur le coup ; je le compris à la façon dont l’onde de choc de la pénétration anale avait roulé jusqu’à moi. Un homme se faisait sodomiser pour pouvoir me baiser : je crus atteindre le septième ciel, c’était trop d’honneurs. Mais pas assez pour ces messieurs car le deuxième se fit enculer à son tour par le dernier. Un cri commun déchira les murs de la chambre. C’est alors que j’ai rouvert les yeux pour voir deux hommes se faire enculer sous mes yeux. Une double sodomie qui m’offrait les coups de boutoir qui me transperçaient. Une situation particulièrement excitante pour le sexe qui venait en moi et que je trouvais extraordinaire. Je ne leur connaissais pas de goût pour la sodomie, autre part que dans mon cul en tout cas. Chaque coup de reins du premier homme entraînait un coup de reins réflexe dans l’anus de celui qui me pénétrait. Une contraction réflexe qui le faisait hurler de douleur anale et de plaisir sexuel. Je jouissais encore d’une telle situation où ils étaient devenus mes jouets sexuels. J’aime ...
    ... me faire défoncer ; j’étais servie. Mais c’était jouissif pour d’autre raisons cette fois-ci : pour le spectacle surprise que l’on m’offrait. Un pied d’enfer, même si je n’avais pas eu d’orgasme.
    
    Après avoir été défoncée comme une chienne – désolée, mais ça m’excite – il me fallait reprendre mes esprits et cette pénétration moins violente était exactement ce dont j’avais besoin. Mais j’en voulais encore. Je voulais encore sentir deux sexes se frotter en moi ; je voulais, pour la première fois de ma vie, que ma bouche se remplisse de leur jouissance. Je voulais être jetée sur ma table en bois, attachée et littéralement violée. Je voulais perdre connaissance par l’extase et ne tardai pas à être servie.
    
    Il ne restait plus que Benoît en moi. Allongée, les jambes à l’équerre, plongée dans le noir total, je devinai à la façon dont il me pénétrait qu’il était les genoux écartés sur le lit. Une puissante pénétration qui, parfaitement rythmée, faisait monter crescendo mon plaisir. J’en étais déjà bien sûr à crier quand il ressortit de moi pour mieux se positionner. C’est ce que je crus, jusqu’à ce que je comprenne qu’en fait il s’agissait d’Éric, vite remplacé par le dernier. Les courtes interruptions, le temps de changer de partenaire, me permettaient de rester à la limite de l’extase sans jamais la franchir. Au deuxième tour déjà, ils se faisaient plus pressants, changeant les positions ; j’étais allongée sur le dos, sur le corps d’Éric quand Benoît vint se présenter à moi. Je ...
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