1. Comme vous et moi... ou presque !


    Datte: 08/04/2018, Catégories: hhh, fhhh, vidéox, facial, Oral 69, pénétratio, double, Partouze / Groupe journal, Auteur: Fwm, Source: Revebebe

    ... sein, aurait bien voulu lui aussi, conquérir mes lèvres. Les corps se frottaient contre moi. Six mains pour deux seins, trois bouches pour souffler le chaud et le froid dans mon cou, trois bouches pour attraper le lobe de mon oreille. Six mains pour retirer le soutien-gorge. Six mains qui font semblant de vouloir me caresser le sexe sans l’oser.
    
    Et que deux mains pour déboutonner trois pantalons, une bouche pour faire durcir trois membres, un visage pour leur laisser le loisir de l’imaginer recouvert de leur sperme. Un cul pour sentir trois pieux battre entre mes fesses tandis que deux mains pincent le bout de mes seins de cette façon si ferme et si douce à la fois, de celle qui me rend toute chose, toute docile tant j’aime ça.
    
    J’avais les yeux fermés. Je les embrassais tour à tour sans savoir qui j’embrassais. Mes mains caressaient les deux membres déjà bien durcis qui se faufilaient le long de mes fesses, bientôt dans mes fesses. Mais là aussi, les rôles changeaient vite ; j’avais l’impression d’être en pleine danse, tournant au gré des bouches et des sexes qui s’offraient à moi. Enfin, déshabillée, leurs mains venaient à moi sans ménagement. Je tenais debout parce que leurs corps se serraient contre moi, sinon j’aurais déjà vacillé. Ils étaient forts, mes hommes, parce que je sentais le désir faire battre leur sexe sans ménagement. Ils m’auraient bien baisée comme une chienne dans l’instant, mais je voulais que l’excitation monte ; je pensais m’agenouiller pour les ...
    ... sucer tous les trois ensemble. Mais trop tard : je me sentais partir, plus par le contact que par les caresses. Preuve du plaisir intense que je prenais à être l’objet de ces trois hommes.
    
    Tandis que leurs caresses continuaient, j’avais des flashes plein la tête. Je me voyais déjà dans le lit avec ces trois hommes, prise en étau comme dans une scène des plus classiques du porno. Je m’attendais à plein de choses durant cette nuit, y compris être cette chienne en chaleur défoncée par deux bites tandis que mon visage ruissellerait du sperme du troisième. Cette vision de moi-même, abandonnée au plaisir, je l’ai eue au même instant qu’un doigt – mais lequel ? – eut raison de mon point G. J’eus enfin mon premier orgasme, debout entre ces trois hommes qui me retenaient. Étourdie, chancelante, essoufflée, j’étais à leur merci. À la condition que cela soit pour mon plaisir : on peut me forcer la main dans un lit, mais pas me violer. Et ils me forcèrent la main de fort belle manière, profitant de ma semi-conscience pour m’allonger sur le lit.
    
    Mais Éric était déjà allongé, lui. C’est par réflexe que je m’introduisis son sexe en moi, alors même que je continuais à crier, tant le plaisir que je venais d’avoir m’avait chamboulée. Mes cris se turent avec ses baisers. Oh non, il ne voulait pas me faire la démonstration d’une preuve d’amour ; il voulait juste retenir mon cri lorsque Benoît et ses 19 centimètres se sont fourrés tout au fond de mon cul sans même que je prenne conscience ...
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