1. Mon premier voyage de femme « libre »… 11° partie


    Datte: 02/06/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Sofie34fr, Source: Hds

    Je tiens à préciser que cette partie a été écrite majoritairement par mon ami Yves. Ceci explique le changement de ton et de style...
    
    J’avais besoin de me rafraîchir et de me poser un peu. La nuit avec mes jeunes vendeurs de voiture et les assauts d’Yves m’avaient brisée. C’est là où l’on regrette ses vingt ans.
    
    Je devais également téléphoner à Paul pour lui raconter ma rencontre avec Yves. Il devait attendre impatiemment mon compte-rendu. Le coquin d’Yves avait déjà dû se vanter auprès de lui et je pense que les images qu’il avait prises étaient sans équivoque.
    
    Je fis quelques selfies pour Paul afin qu’il voit sa Éva en tenue légère dans les rues de la capitale.
    
    Dès mon retour à l’appartement je me déshabillais et pris une bonne douche. J’en profitais pour me laver encore les cheveux qui avaient été éclaboussés par la crème d’Yves.
    
    Une fois essuyée je me promenais nue dans l’appartement de mon fils. Je me mis à la fenêtre pour appeler Paul.
    
    Il décrocha à la première sonnerie. Il devait être impatient d’avoir de mes nouvelles. Oui, Yves l’avait appelé. Oui, il savait que je devais manger avec lui. Oui il savait déjà qu’il m’avait baisée dans les toilettes du restaurant. Toutes les images n’étaient pas encore arrivées, mais il s’était déjà masturbé à la vue des premières qu’il avait pu visionner.
    
    - Qu’est-ce qu’il t’a mis. C’est incroyable tout le jus qu’il peut gicler. Tu avais l’air de bien aimer la direction qu’Yves t’a imposée ?
    
    - Oui mon chéri. Je ...
    ... savais que ton copain était puissant, mais là, j’ai subi des assauts d’un bucheron très directif : un « Maître ». Il est charmeur et a un charisme fou. Et quelle canaille ! Me baiser dans les toilettes. Jamais je n’aurais imaginée me faire baiser comme une chienne dans des WC publics. J’ai adoré !! J’ai joui comme une folle. Yves m’avait totalement envoutée. Je n’étais qu’une salope en chaleur que seule la jouissance importait. Sous ses coups de butoir, j’ai perdu pied. J’avais des soubresauts, des frissons. Tout mon corps était en ébullition. Je ne sais combien de fois j’ai joui. Et qu’est-ce qu’il m’a remplie. Ma bouche était pleine de sa crème que j’ai avalée avec plaisir en le regardant dans les yeux. Il était encore davantage endiablé le coquin. Et quelle façon de le remercier pour m’avoir si bien baisée.
    
    Vous êtes des cochons tous les mecs !!! Mais qu’est-ce que c’est bon de planer en plein délire sexuel. J’adore. Merci, merci et remerci mon Paul chéri de me laisser profiter de la vie et de mon corps. Tu avais diablement raison. J’aurais dû me lâcher beaucoup plus tôt. Que d’années perdues.
    
    Je t’aime follement. Je pense bien à toi et je suis ravie de voir que je peux te renvoyer mon plaisir à distance. Branle-toi bien et j’attends mon retour avec impatience pour me lover entre tes bras. Je t’aime.
    
    J’avais peur que Paul me demande de revenir, qu’il me fasse des reproches, qu’il me culpabilise. Mais non, je le sens bien. Et moi qui croyais qu’un homme qui n’est ...
«1234...»