Au couvent
Datte: 02/06/2020,
Catégories:
ff,
fff,
jeunes,
religion,
grosseins,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
contrainte,
Masturbation
Oral
fgode,
fdanus,
attache,
fouetfesse,
historique,
historiqu,
Auteur: Ben, Source: Revebebe
... sucer les seins de Madame de Valençon. Son visage exprime en même temps le plaisir et la douleur que lui provoquent les pincements de la mère supérieure. Les larmes lui montent aux yeux, mais en même temps elle gémit de désir. Soeur Amélie lui saisit la taille, et lui enfonce son gode sans ménagement : il pénètre sans peine le sexe trempé de la jeune novice. Elle commence à aller et venir, lui enfonçant le gode au plus profond du sexe. Chaque fois qu’elle la pénètre, Eléonore ahane. Ses fesses tremblent quand Soeur Amélie vient buter contre elle. La vue de ce petit cul agité par ses pénétrations excite la Mère Supérieure : elle lui donne une claque sur la fesse droite, puis une autre sur la fesse gauche. La novice gémit de plaisir. Madame de Valençon n’en peut plus. Elle se dirige vers le chandelier, et s’empare d’un cierge long et assez épais. Elle va s’asseoir dans un des fauteuils. Elle écarte ses cuisses, passant ses jambes par-dessus les accoudoirs. Elle commence à passer lentement le bout du cierge arrondi sur la fente de son sexe en observant Soeur Amélie baiser la novice qui semble ne plus pouvoir retenir la montée de son plaisir. Elle cambre les reins, ondule du cul, va au-devant des coups de boutoir qui la labourent.
Madame de Valençon s’enfonce le cierge dans la moule ; il est assez long et épais, mais il pénètre sans peine. Elle est comblée par ce substitut phallique qui lui distend le sexe. Elle l’enfonce jusqu’au fond de son sexe, le ressort, le passe ...
... sur son gros bouton érigé, le glisse à nouveau entre ses lèvres. Elle mouille abondamment, et elle sent le jus s’écouler de son sexe et s’immiscer dans sa raie. Sans cesser de se branler avec le cierge, elle s’enfonce l’index droit dans la rosette, tout en regardant les autres femmes d’un air lubrique.
Le plus jeune des novices est toujours pendue par les poignets, et se tord de désir. Elle réussit à presser son clitoris entre ses cuisses serrées, et gémit doucement. Quant à l’autre, elle prend de plus en plus de plaisir à se faire embrocher. Soeur Amélie continue de la fesser : bientôt ses fesses sont rouges et échauffées. Elle la pénètre maintenant presque violemment, lui arrachant de petits cris de plaisir. Ses jolis seins balancent en rythme. Madame de Valençon voit le regard de la jeune fille devenir vague, le plaisir déforme ses traits. Quelques coups de gode, et elle jouit une première fois, d’une manière si intense que Madame de Valençon croit un instant qu’elle va tomber inanimée.
Avant de jouir elle-même, Madame de Valençon arrête de se branler. Elle se relève, et s’approche de Sylvie. Soeur Amélie lâche Eléonore, et s’approche à son tour, son gode dressé.
— Et toi aussi, tu t’es fait prendre par le jardinier. Raconte-nous.
— J’étais très excitée d’avoir vu mon amie se faire prendre.
— Tu t’es branlée ?
— Oui, je me masturbais en observant ce sexe arrogant qui s’enfonçait sans peine dans son vagin poisseux.
— Tu mouillais ?
— Je dégoulinais, comme je ...