1. AU BORD DU LAC 4/8


    Datte: 01/06/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... mouvement, et avala avant de ma délaisser, pour clamer son plaisir. Eric, la pistonna de plus en plus fort, et jaillit en elle avec un grand râle .
    
    Après cette joute, nous retournâmes à l’eau, et reprîmes des forces en somnolant sur le sable.
    
    « C’est bon de pouvoir crier son plaisir sans retenue » apprécia Ingrid.
    
    L’ombre gagnait du terrain, et le soleil commençait à descendre. Il fut temps de se préparer à rentrer. Pendant que Terry et Eric regroupaient les affaires, Ingrid , caline, m’entraina vers le rocher plat, où elle voulut que je la prenne, en missionaire.
    
    Nous quittâmes à regret ce coin de paradis, et après avoir libéré notre voilier, prîmes le chemin du retour. Les deux filles étaient restées nues, et couchées sur les plats-bords, les pieds vers nous, nous offraient une vue sur leurs sexe encore gonflés de désir. Néanmoins, comme nous approchions d’une partie où nous pouvions croiser d’autres embarcations, je leur demandai de se couvrir, et elles remirent leurs culottes, et débardeurs. Nous débarquâmes à la marina en tenue décente.
    
    Après le diner, Nous nous retrouvâmes comme à l’accoutumée. Ingrid me proposa d’aller dans ma tente, et Terry s’en fut avec Eric, dans la sienne. Ma canadienne était assez petite, mais c’était suffisant pour deux. Arrivés devant la tente, elle vérifia que personne ne trainait alentour, et entreprit de me ...
    ... déshabiller, m’enlevant mes tennis, puis mon sweat shirt, mon pantalon, et mon caleçon. Elle m’embrassa, et m’invita à entrer dans la tente. Allongé sur le lit, je la vis se reculer, et à la lueur du lampadaire, enlever, son, Pull, dégraffer sa longue jupe qui glissa à terre, Elle passa son débardeur par dessus sa tête, et prit ses seins en poire par dessous comme pour me les offrir, puis ses mains longèrent son corps, arrêtée aux hanches par l’élastique du string, avec lequel elle joua avant de se tourner et de le faire descendre jusqu’aux chevilles, sans plier les genoux, m’offrant une vue, en contre-plongée de son joli popotin, et de son abricot déjà entrebaillé.
    
    Elle fit ensuite demi tour, et ramassant ses fringues, vint se réfugier en courant dans l’abri de toile avant que les moustiques n’aient le temps de la dévorer.
    
    Je pensais n’être plus capable de grand-chose, mais elle sut extirper de mon corps les dernières parcelles d’érotisme. Après plusieurs rounds d’amour, nous sombrâmes dans les bras de Morphée. Quand je me réveillais, il faisait jour depuis longtemps, et Ingrid avait disparu, ne laissant derrière elle qu’une odeur de parfum, mélée de stupre.
    
    Après un bon petit déjeuner, et une douche, je retrouvai Eric, qui me dit avoir passé, lui aussi une nuit Torride. Au détour d’une allée, dans un recoin, près d’un lampadaire, l’emplacement de leur tente était vide. 
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