1. Collection Privée


    Datte: 08/04/2018, Catégories: f, h, fh, hh, grp, fbi, hbi, inconnu, copains, bizarre, bain, forêt, fête, hsoumis, fdomine, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Masturbation intermast, Oral pénétratio, hsodo, Partouze / Groupe aliments, traduction, merveilleu, Auteur: Amanite et Cimarron, Source: Revebebe

    ... masculine dont le visage est pressé entre ses jambes. Il est allongé à la romaine, cependant sa tête atteint facilement le niveau des hanches de la femelle. Ses bras l’ont enlacée pour attraper ses cuisses par derrière, si bien qu’un genou féminin se replie par-dessus son épaule. Vu la masse de muscles qui ondule le long de son dos, il est probable qu’il soit en train de soulever entièrement le petit corps dans cette position. En effet, les pieds de sa partenaire ne semblent pas toucher le sol.
    
    Les cheveux du mâle sont longs et noirs, avec les mêmes riches reflets que les poils qui couvrent la moitié inférieure de son corps, les deux jambes arrière d’un cheval. Les musculeux membres d’ébène sont repliés sous lui tandis qu’une queue luxuriante s’étale derrière. Au travers de son corps, une tension vibre, pratiquement incontrôlée et absolument évidente dans la longue, sombre érection qui pointe vers la femelle.
    
    Ce couple improbable est composé d’unecerfée et d’uncentor, créatures qui – dans les circonstances habituelles – ne parlent jamais les unes aux autres, et interagissent encore moins souvent de cette façon particulière. Mais ils ne se sont pas rencontrés dans des circonstances habituelles.
    
    Lescerfées restent généralement en troupeau. Celle-ci, toutefois, avait été seule pendant plusieurs jours depuis que les siens avaient été attaqués par unloufarou. Etant particulièrement légère et vive, elle avait couru plus vite, loin devant les autres et s’était finalement ...
    ... perdue.
    
    Quand le danger fut passé, néanmoins, elle ne se pressa pas pour rejoindre le groupe car, étant si légère et si vive, elle était aussi obstinément fière. Elle avait décidé de voir à quoi ressemblerait une journée passée seule. Un jour devint deux, puis trois, jusqu’à ce qu’elle abandonne sa fierté et que le poids de la solitude la pousse de nouveau à rechercher le troupeau.
    
    C’est à ce moment-là que la nature reprit ses droits sur elle. Comme toutes les femellescerfées le font de temps en temps, elle entra en chaleurs. En un instant, son inquiétude avait disparu pour céder la place à l’appétit sexuel. Son corps était en feu et, plus que du troupeau, elle avait besoin d’un mâle. Maintenant.
    
    Bien sûr, il n’y avait aucun mâlecerfée à portée de vue. Alors, après un moment passé à tituber entre les arbres, ivre de son propre désir, elle s’effondra finalement au pied d’un vieux chêne. Elle commença à se caresser, d’abord timidement, puis animée par une croissante sensation d’urgence.
    
    Et c’est ainsi que lecentor la découvrit. Créatures solitaires par nature, lescentors sont également connus pour leur constant état d’excitation (encore plus que leurs cousins quadrupèdes, les centaures). Il est donc tout à fait naturel qu’après avoir été attiré vers la petite clairière par des grognements et gémissements explicitement féminins, il décida de se précipiter au secours de lacerfée en détresse. Il s’avança dans la clairière et se présenta à la silhouette pantelante – qui ...
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