Ma charmante voisine (4) - Histoires de Sexe

Ma charmante voisine (4)

Avant de poursuivre (ou non) cette histoire, je me dois de vous expliquer comment nous sommes passés de cette après-midi de fin août au bord de la piscine à nos baises régulières de novembre.

Plusieurs jours se sont écoulés depuis la visite dominicale de Claire. Laure avait trouvé étrange que je me propose de mettre une machine de linge, trop heureux que j’étais de me débarrasser de mon boxer plein de mon foutre. Elle avait salué mon effort, il est vrai que la lessive et moi, ça fait 2...

Claire et moi avions juste échangé quelques SMS. Elle s’amusait de cette situation, me demandant si la fin d’après-midi s’était bien passée avec un boxer odorant. Je ne partageais pas le même enthousiasme, elle m’excitait ; impossible de le nier ; mais j’étais marié, heureux en couple ou je croyais l’être. Je me sentais fautif, rassurant ma conscience en me disant que je n’avais rien fait de grave (juste une main sur les fesses) et Claire m’avait branlé au travers du boxer, nous n’avions eu aucun contact de nos peaux. Était-ce tromper ? Après tout, ce n’était qu’un flirt poussé sans importance. Je lui avais fait part de mes états d’âme, oscillant entre l’envie d’elle et ma loyauté envers Laure.

Quelques jours s’écoulèrent encore quand elle me proposa un footing, la prof de yoga et le prof de judo et ju-jitsu qui courent ensemble paraissait plausible. J’avais envie de la revoir et discuter de tout ça, j’acceptais.

Il est 9h quand je sonne à sa porte, vêtu d’un short et d’un vieux ...

... t-shirt du club, elle m’ouvre en legging et brassière. Nous nous faisons la bise, je tente de cacher la trique dans mon caleçon. Sa tenue la moule vraiment et ça lui va merveilleusement, et elle le sait.

C’est parti pour un footing d’une dizaine de kilomètres dans le parc à proximité de notre quartier, j’ai beau être un sportif accompli, l’endurance et la course à pied m’ont toujours saoulé. Claire semble plus à son aise et a vraiment l’air de se promener, je me mets souvent en retrait, l’occasion est trop bonne de mater son cul. Après plusieurs tours du parc, Claire me met au défi et me pique au vif :

— Je te croyais un champion d’arts martiaux ? T’avances pas en fait ! Je te parie que tu es incapable d’arriver avant moi à la maison !

Je suis un compétiteur, je ne refuse jamais le gant lancé et j’accepte " OK ! et on parie quoi ? "

— on verra !

Nous voilà partis dans un sprint de 2 kilomètres, je reste collé derrière elle malgré la cadence qu’elle impose, je vois nos maisons et j’accélère, je lui passe devant, mais je sprinte trop tôt et elle finit par me doubler à quelques mètres seulement de nos maisons respectives. Je suis à bout de souffle alors que Claire, elle, rit aux éclats, trop fière de m’avoir battu.

Nous rentrons chez elle pour nos hydrater, nous sommes en nage et les verres d’eau sont engloutis rapidement.

— Bon, j’ai gagné, j’ai le droit de te donner un gage ! Je veux te voir nu !

— Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée.

— tu ...