1. Modeste


    Datte: 01/06/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bylapassagere, Source: Literotica

    ... me doucher puis me maquiller. J'avais tout préparé hier. Je passe des bas, un porte-jarretelles et une longue robe blanche qui moule parfaitement mon corps. Mes seins sont gonflés. Mes aréoles se sont élargies et ont foncé, mes mamelons sont proéminents. Comme une femme qui a enfanté, mes seins sont pleins de lait, un effet secondaire des traitements que je suis.
    
    La seule pensée de la verge de mon mari me fait bander. La femme m'a montré à embrasser cette différence et à ne pas la cacher. Ma queue est bien visible devant ma robe. Tout comme mes seins qui sont apparents sous ma robe translucide. Mes escarpins me grandissent de douze centimètres. Mes yeux bleus sont agrandis par un savant maquillage charbonneux. Mes lèvres sont pulpeuses et lustrées. Je sens bon, je suis excitée et prête à servir mon mari.
    
    Quand la porte s'ouvre, je m'agenouille pour mon mari.
    
    « Finalement! Tu es ici depuis trois mois. Sais-tu comment tu m'as couté seulement? »
    
    Je l'écoute et je tremble. Je ne lève pas la tête et je ne lui réponds pas. Je sais que si je fais bien je vais pouvoir sortir d'ici sinon... Je n'ose même pas y penser. La femme qui a passé tous ces après-midi avec moi m'a dit qu'elle n'avait plus rien à m'apprendre. Le reste c'était à moi à me débrouiller. Je me retiens pour ne pas pleurer, je ne veux pas risquer de gâcher mon maquillage que j'ai pratiqué si souvent à appliquer.
    
    La femme m'a préparé par ses paroles à ce qui venait. Mais je sais que rien ne peut me ...
    ... préparer en réalité. Toutes mes cavités sont propres et parfumées.
    
    Il s'approche de moi et passe un collier à mon cou. Un collier et une longe en soie blanche. Il me prend le bras gauche par le coude et me fait lever.
    
    « Viens. Assure-toi de marcher derrière moi, toujours derrière moi. »
    
    La femme m'avait déjà dit que je devrais toujours marcher derrière lui. C'est ma place. Il me tire vers la porte et frappe trois fois. Je le regarde. Il est bien mis. Il porte un bel habit, ses cheveux sont fraichement coupés et il sent bon. La porte s'ouvre. Deux hommes noirs que j'ai probablement déjà soulagés de leurs jus nous attendent. Mon mari Yankel Sokolof me tire à travers le sous-sol vers l'escalier. Je sais que je dois être au bout de la longe sans tirer sa main vers l'arrière. Je m'ajuste constamment à ses pas.
    
    Je suis sortie de ma chambre! En montant les marches, j'entends des voix à l'étage. Quand la porte s'ouvre, je suis aveuglée par la lumière ambiante. Je suis la longe sans réellement voir où je vais pendant quelques secondes. Quand mes yeux s'habituent, je réalise que je marche à travers un groupe d'hommes et de femmes qui forme en quelque sorte une haie d'honneur. Yankel me mène jusqu'au milieu du salon et me fait passer à son côté. Je ne reconnais personne. Il y a des gens de toute nationalité, tous les âges. Tout le monde est bien mis. Ce sont les résidents du village.
    
    Un homme s'avance devant nous et se met à parler dans un langage que je ne comprends pas. Je ...
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