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Modeste
Datte: 01/06/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bylapassagere, Source: Literotica
... autour de moi, mais je ne peux les voir. Plusieurs fois, j'ai senti qu'on s'occupait de mon gros clitoris. On le trayait de plusieurs façons avec toujours le même résultat, une profonde jouissance. J'attendais maintenant ces moments où je pourrais jouir et me défaire quelques instants de mes soucis. Je ne criais plus depuis longtemps ni ne pleurais. Je m'habituais tranquillement à mon nouveau statut. Mon corps me faisait mal par contre. Comme s'il avait un grand besoin d'exercice. J'avais l'impression qu'on me parlait sans arrêt, mais je ne pouvais jamais comprendre ce qu'on me disait. J'ai été surpris après plusieurs jours d'entendre à nouveau la voix de monsieur Sokolof. « Bonjour Modeste. Alors comment va ma fiancée? — J'ai mal aux muscles. Monsieur Sokolof, détachez-moi s'il vous plaît. — Bon au moins je vois que tu ne rechignes plus comme avant. Tu es vraiment une belle fille, mais tu vas devoir apprendre à prendre soin de toi et à mieux te comporter si tu veux que je te détache. — Je vais faire ce que vous voulez. S'il vous plaît, détachez-moi, laissez-moi sortir d'ici. — Oh! Ma belle, avant que tu ne sortes d'ici, tu vas devoir vraiment mieux te comporter et bien comprendre ta place. Tu n'es vraiment pas prête. Dis-moi ton nom. — Je ne comprends pas, mon nom est Modeste Proulx. — C'est cela. Ton âge? — J'ai 14 ans. — Et non, tu as eu 15 ans, ma belle. Tu es ici depuis plus de 3 semaines. Tu es une fille ou un garçon. — Je suis une ...
... fille ou un garçon? La question m'intriguait et je ne savais plus quoi répondre. — Alors? — Une fille, je crois. Je me doutais qu'il attendait cette réponse. — Bravo. Tu vas avoir de nouvelles amies qui vont venir te visiter maintenant. — Merci monsieur Sokolof. » Il est parti, les lumières et l'écran se sont éteints. J'ai pu finalement dormir paisiblement. *** Je me suis réveillé quand les lumières se sont rallumées. J'étais léthargique, mon réveil est difficile. Je réalise que je ne suis plus attaché et que je peux voir la pièce. Je me lève un peu trop vite et la tête se met à me tourner. Je vois une grande glace au mur devant moi qui me retourne un reflet de moi. Je ne suis pas nue. Je porte des bas blancs avec de larges bandes de dentelles, un porte-jarretelles blanc avec une petite touche de rosé tout comme la petite culotte de dentelle qui cache mon sexe. Mes petits seins qui me font très mal sont droit devant moi. J'y porte ma main. Je me sens comme dans un rêve. « Viens ici. » La voix vient de la porte. Je remarque qu'un carré est ouvert au centre. « Monsieur Sokolof, j'ai faim et j'ai soif. — Viens ici. Et cesse de m'appeler ainsi. Je suis ton mari, fais moi preuve de respect. » Je me tourne vers la porte et je vois un phallus protubérant par le carré ouvert au centre. « Nooon! — Viens prendre soin de ton mari ou tu n'auras pas à manger. » Je me regarde dans la glace. Mon souvenir de mon corps est très différent. Je mets ma ...