Kim, jeune Eurasienne / Rencontre insolite à Beaubourg
Datte: 31/05/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
asie,
inconnu,
amour,
Oral
pénétratio,
amourpass,
occasion,
Auteur: Solo-Wanderung, Source: Revebebe
... beaucoup bu. Nous buvions nos salives, elle mordillait mes lèvres, les suçait, passait sa langue experte entre mes lèvres et mes gencives comme on ne m’avait plus embrassé depuis longtemps. Alors que je ne bandais plus aussi facilement, j’eus une érection quasi instantanée, et elle a dû l’anticiper, car elle se mit à frotter son bas-ventre contre mon sexe, suivant le rythme des basses de l’électro. Je la tenais par la taille et je sentais comme celle-ci était fine. J’en faisais presque le tour de mes deux mains. Je les glissais sur ses hanches dont les os saillaient légèrement.
Autour de nous, une foule dense et très chaude se trémoussait. Je caressais son corps en ayant passé les mains sous son top et elle semblait de plus en plus excitée. J’en eus la preuve en l’embrassant car je reconnus ce goût de sexe très subtil que dégagent de leur peau et de leur haleine les femmes excitées. C’est exquis lorsqu’on s’en rend compte ; c’est assez imperceptible et la femme n’en a généralement pas conscience. Cela me mit dans un état d’excitation indescriptible et je sentis mon sexe tendu à l’extrême qui commençait à me faire mal. Je me rendis compte que cela faisait quelques semaines déjà que je n’avais pas joui et je compris mieux pourquoi mes testicules étaient douloureux.
Kim passa ses mains sur mes fesses et je fis de même en appuyant sur ses globes et en passant par-derrière mes mains entre ses jambes pour remonter vers ses fesses. Elle laissa échapper des petits cris dans ...
... mon oreille et me dit qu’elle adorait notre soirée. Quelle soirée effectivement, je n’en revenais pas moi-même ! J’avais le double de son âge, certes, j’étais en pleine forme et très sportif, on me donnait cinq à dix ans de moins mais tout de même, je n’avais plus l’habitude de sortir avec une fille aussi jeune.
Il devait être quatre heures lorsqu’elle me dit qu’elle voulait rentrer. Je n’étais pas très sûr de ce qu’elle voulait dire par là et je me dis que ce serait trop dommage de la laisser partir ainsi. En sortant, elle se serra contre moi et nous nous retrouvâmes sur la place de la Concorde, à héler un taxi improbable à ces heures, à Paris, un vendredi. Mais la chance nous sourit et en nous engouffrant dans le taxi, elle me dit qu’elle devait rentrer à l’hôtel. Je me dis que c’était terminé pour ce soir, mais elle me demanda de l’accompagner. J’acceptai bien évidemment mais, encore une fois, en me disant que c’était juste pour la raccompagner, je n’ai jamais été du genre à insister et cela a toujours payé, du moins lorsque cela en valait la peine.
Direction les « Mathurins » et dès que nous arrivâmes devant l’hôtel – un quatre étoiles, me sembla-t-il – j’expliquai au chauffeur que j’allais continuer la course vers le Marais. Kim, qui parlait un peu le français, dut comprendre : c’est là qu’elle me dit sans équivoque :
— You come with me, please !
Je ressentis une certaine joie car je ne voulais pas lui donner l’impression que je tentais de profiter de la ...