1. Kabir, maman et moi (6)


    Datte: 30/05/2020, Catégories: Transexuels Auteur: lo1ka, Source: Xstory

    L’allure des quatre hommes qui franchissaient le pas de notre appartement, leurs rires, leurs odeurs... tout indiquait qu’ils étaient ivres et qu’ils venaient seulement finir la soirée en beauté avec nous. Kabir ouvrit d’emblée les hostilités, à sa façon caractéristique qui n’avait désormais aucun secret pour maman et moi.
    
    — Aaah, salut les pétasses ! lança-t-il en souriant jusqu’aux dents lorsqu’il nous aperçut.
    
    Les trois hommes derrière lui lâchèrent instantanément des rires et se jetèrent des regards complices après nous avoir aperçus dans nos tenues féminines et sexy. Kabir invita ses amis à s’asseoir et nous rejoint maman et moi, qui restions toujours debout depuis que les hommes étaient là. Il se mit entre nous et nous prit par la taille. Il sourit de plus belle lorsqu’il se pencha un peu en arrière pour reluquer mes fesses bien moulées dans ma jupe, et bien rebondies grâce à mes talons. Il me donna une grosse claque sur le cul pour me signifier sa satisfaction, ce qui me fit un peu trébucher sur mes talons que je n’avais pas encore tout à fait l’habitude de porter. Les amis de Kabir le remarquèrent instantanément et le réflexe de deux d’entre eux fut de me poser les mains sur les fesses et les cuisses.
    
    — Ahaha, doucement ma jolie, on te veut encore toute fraîche pour le reste de la soirée, me lança l’un d’entre eux en rigolant avec les autres et en continuant à malaxer mes cuisses en remontant ma jupe qui était déjà très courte.
    
    Je souris timidement et ...
    ... tentai de me redresser malgré les mains qui me pelotaient. Pendant ce temps-là, Kabir embrassait fougueusement maman. Sa robe courte remontait presque jusqu’à ses hanches et Kabir lui donnait de grosses claques sur son vagin que son string peinait à couvrir. Quelques instants après, Kabir se décida enfin à nous faire asseoir maman et moi. Sa main droite malaxait la chatte de maman par-dessous son string, tandis que sa main gauche était introduite sous ma jupe pour me caresser les fesses. Il avait tiré mes jambes vers lui, de manière qu’elles soient posées sur ses genoux et que ses amis aient une vue imprenable sur mon string en dentelle. Ce n’est que quelques minutes plus tard qu’il se décida à faire les présentations. Ce n’était pas trop tôt !
    
    Nos visiteurs s’appelaient donc Albert, Lamine et Abdel. Albert était un homme d’un certain âge, dans la cinquantaine, et s’approchant probablement de la soixantaine. Il avait une moustache bien fournie et une coiffure assez chique. Si son haleine ne sentait pas autant l’alcool et le tabac, et si sa chemise et sa cravate n’étaient pas aussi défaites, on aurait pu le prendre pour un gentleman de première classe. Il avait cependant un air bienveillant. Il n’était pas très grand, il devait faire dans les 1m70, mais il dégageait un caractère paternaliste et protecteur. Pendant que Lamine et Abdel me pelotaient quelques instants auparavant, Albert se contentait de sourire et de me déshabiller du regard. Lamine était un black qui avait un ...
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