La Gestionnaire (22)
Datte: 30/05/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: hugo_g, Source: Xstory
... manches courtes. Le boutonnage est assez bas. Je peux constater comme les autres, qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Elle doit avoir de petits seins, vu les faibles volumes qui déforment de la veste. Elle a de hauts talons.
— Bonjour François adoré, je suis en retard, comment vas-tu et qu’as-tu à me présenter de si urgent ?
— Bonjour, Anaïs, regarde...
— C’est ça !
Elle me regarde et tourne autour de moi. Elle me jauge, m’inspecte, m’évalue comme un maquignon le ferait d’une vache sur un champ de foire.
— Joli morceau, obéissante ?
— Assez, mais elle a beaucoup à apprendre...
— Tu l’as pour combien de temps ?
— Un an...
— Chouette, tu me la prêteras ?
— Bien sûr...
— Quand ?
— Cet après-midi si tu veux...
— OK, je n’ai rien de prévu...
— Mais avant allons déjeuner...
Nous passons à table. Enfin eux, car, je reste debout derrière Maître FX. Anaïs demande que je mange avec eux.
— Tu sais, avec ce qu’elle va subir cet après-midi, il vaut mieux qu’elle soit en pleine forme...
Maître FX m’autorise à déjeuner avec eux. Le repas se passe entre gens du monde. Anaïs m’interroge sur ma vie, mon métier et plein de choses de la vie, de ma vie. Je lui parle de toi.
— Pourquoi vous a-t-il abandonné à François ?
— Il part pour un an au Vietnam pour raisons professionnelles...
Elle me regarde droit dans les yeux et avec une lueur cruelle elle me lance:
— Il va revenir avec une petite Viet, il paraît qu’elles sont toutes ...
... très perverses et très accueillantes, il te laissera tomber après...
Les larmes me montent aux yeux. J’espère que tu me reviendras. Je ferais tout pour être à toi.
La fin du repas arrive. Maître FX part de nouveau à la chasse, me laissant aux mains expertes d’Anaïs et de Virginie. Que vont-elles me faire subir ? Je suis incorrigible. J’ai des picotements dans le sexe...
Anaïs se lève et m’ordonne :
— Viens, suis-nous...
Elle revient dans le hall. Je la suis sur mes chaussures hautes. Elle marche vite. Je me tords les chevilles. Virginie me talonne et se permet des commentaires désagréables à mon encontre.
— Chienne, tu ne sais même pas marcher avec des talons hauts...
Je voudrais la voir perchée sur des échasses de douze centimètres...
Anaïs ouvre une porte dissimulée sous l’escalier monumental du hall. Des marches sombres descendent vers un lieu peu éclairé. Elle commence à descendre. J’hésite devant la première marche. Virginie me claque les fesses :
— Descends ! Espèce de gourde...
J’entame l’escalier. Aussitôt dans la pente, la fraîcheur des sous-sols remonte. Elle me glace la peau. L’escalier est long. Nous arrivons dans un couloir. Quelques mètres sur la gauche et Anaïs ouvre une porte massive en bois. Elle allume la pièce. C’est une cave voûtée. Une croix de bois est fixée au mur. Au plafond, des anneaux et des barres d’écartement pendent. Au sol et sur le bas des murs d’autres anneaux sont scellés.
— Avance ! Mets-toi au centre de la ...