La Gestionnaire (22)
Datte: 30/05/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: hugo_g, Source: Xstory
... désirable. Je commence à comprendre les dominateurs. Virginie se tient devant moi. Elle passe sa main entre mes cuisses et constatant ma jouissance sur ses doigts, elle me questionne :
— Alors ma jolie salope, t’as pas honte t’es toute mouillée...
Je pince mes lèvres. Elle me flanque une calotte sur la joue gauche.
— Alors, réponds, salope...
Une fois le choc de la gifle accepté, je la regarde droit dans les yeux et sans aucune crainte pour ce qui risque de s’en suivre je lui réponds :
— Oui c’est vrai, j’ai honte, mais je prends énormément de plaisir à avoir honte, à être humiliée...
Virginie est surprise de ma réaction. Elle commence à caresser mes seins. Elle prend un mamelon et l’étire très fort.
— Alors tu aimes être humiliée, eh bien je vais aussi te châtier pour te faire bien comprendre la situation. Ce matin tu es mon esclave. Maître Fx m’a donné carte blanche pour toi...
Virginie reprend la torture de mes seins. Elle tire sur mes deux tétons. La douleur est forte, mais assez supportable. Je commence à transpirer.
— Tu as mal ?
— C’est supportable...
Je vois une lueur méchante passer dans son regard. Elle ouvre l’un des tiroirs de la coiffeuse. Elle en ressort des pinces à cheveux. Elles sont en plastique noir, mais surtout, elles possèdent les dents assez fines.
— Tu vas voir si c’est supportable, tes beaux gros seins vont avoir mal, tu aimes ça avoir mal aux seins ? Eh ! Ma salope
D’un geste vif elle m’attrape un sein. Elle ...
... l’étire de ses doigts, l’agace de la langue. Le téton pousse comme un fou. C’est presque une phalange de doigts d’enfant qui pointe sur mon globe blanc. Elle pose la pince, en veillant bien à ce que les dents se calent sous le téton. Je gémis de douleur. J’essaie par des mouvements de tronc de me libérer de la pince. Elle se frotte le sexe de la main. Une envie sourde la traverse. Elle se malaxe le clitoris quelques secondes. Elle se donne un petit instant de bonheur. Puis elle saisit une autre pince.
— Non pas sur les deux, laisse-moi m’habituer à la douleur, s’il te plaît...
Mais elle ne tient pas compte de ma demande. Elle réitère ma même manipulation sur mon autre sein. Je crie ma douleur. Je récolte une autre gifle.
— Tais-toi, tu n’as rien à dire.
Toujours en plantant son regard dans le mien, elle attrape les pinces et lentement, elle tire vers elle. Je crie fort, très fort. Elle relâche sa traction. Mes seins se sont étirés de façon incroyable. Mais elle reprend en main les pinces. J’ai peur qu’elle tire. Non au contraire, elle le remue de droite à gauche, de haut en bas. C’est pire que la traction en avant. La douleur s’estompe et se transforme. Le plaisir arrive. Je ne comprends pas cette mutation de la douleur en plaisir. Je gémis de plus belle. Je mouille je sens que je mouille. Elle n’arrête pas. Elle remue mes seins par mes tétons. Ils sont devenus rouge sombre. Le sang afflue et reste au niveau des dents. Toujours en gémissant, je me bouge sur la ...