La Gestionnaire (22)
Datte: 30/05/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: hugo_g, Source: Xstory
... charmante petite salope en tenue...
— Bien sûr, Monsieur le Comte...
Elle approche de moi.
— Mets tes mains derrière ta tête, et ne bouge pas...
Elle sort de derrière son dos un couteau très long et très effilé. Elle glisse la lame sous la première bretelle et tire en arrière d’un coup sec. La lame tranche sans aucune difficulté le tissu. La même manœuvre se répète sur l’autre bretelle. La situation est un peu angoissante mais elle m’excite. Mes pointes de seins se dressent et ce sont elles qui gardent ma robe retenue. Anaïs crochète son index dans mon décolleté. Elle me regarde droit dans les yeux. Une lueur de sadisme brille dans ses magnifiques taches. Elle tire un peu. La conséquence est immédiate. Le chiffon qui m’habillait choit à mes pieds. Monsieur le Comte s’adresse à moi :
— Je t’avais promis une punition, tu vas la recevoir. Mais pour ça, Anaïs va t’équiper correctement.
Elle va chercher sur la table, le dernier objet de torture. Elle me place le mors en bouche. Elle me l’enfonce le plus profond possible. Elle serre très fort les lanières. J’ai mal. Le mors déforme ma bouche et tire sur les commissures de mes lèvres. Je peine à avaler ma salive. Monsieur le Comte s’approche de moi et me parle :
— Je t’avais promis une correction, je vais te la donner.
Il me montre un martinet. Les fines lanières de cuir courent dans la paume de sa main. J’ai peur, je frémis, ma crainte doit se lire dans mes yeux vu qu’il me dit :
— Es-tu d’accord à être ...
... corrigée ?
J’hésite à répondre.
— Heu, un peu...
— Comment cela "un peu" ? Je vais te corriger comme tu mérites de l’être, pose ta tête sur le tapis et garde tes fesses hautes...
Je ne sais pas quoi faire. Anaïs me pousse dans le dos. Je tombe sur une épaule pour éviter de me cogner le visage.
— Tiens-toi bien. Ecarte tes cuisses.
Je corrige ma position, avant d’être corrigée moi-même. Maître Fx intervient dans le jeu.
— Le spectacle est charmant, si tu pouvais te voir, Chienne, tes grosses fesses écartelées et au milieu ton trou du cul défoncé par un plug, c’est risible...
Monsieur le Comte commence par un premier coup léger, presque une caresse. Il connaît la résistance des femmes aux corrections. Les fouettées suivantes montent en gamme, de plus en plus forte. Le martinet choisit alternativement la fesse gauche et la fesse droite. Je geins dans ma bouche et des grognements trahissent ma douleur et mon plaisir. Monsieur le Comte est renseigné de la qualité de la correction par mes cris étouffés. Le dernier coup, je n’ai pas compté exactement le nombre que j’ai reçu, me cingle au niveau du sexe. Les lanières souples ont épousé soigneusement les formes de mon sexe. La brûlure est très cuisante. Mon ventre se contracte face à la douleur. Mais aussitôt, le plaisir arrive et me transcende. Monsieur le Comte se place face à moi. Il me retire mon bâillon. Je fais fonctionner ma mâchoire pour effacer les courbatures dues au mors et m’interroge :
— Alors, ...