1. La Gestionnaire (22)


    Datte: 30/05/2020, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory

    ... et présente sa rondelle fripée au pouce. Elle pousse. Sa rondelle se déforme et avale le doigt. Maître FX tourne la main, permettant aux doigts de sa main d’investir le sexe de Virginie. La main se referme sur le bas-ventre féminin offert. Le visage de la jeune femme trahit les mouvements des doigts en son ventre. Elle gémit. Ses dents se plantent dans sa lèvre inférieure. Maître FX se moque d’elle :
    
    — Cher ami, regardez cette gourgandine qui se trémousse sur mon pouce. Elle aime se faire enculer. C’est une véritable petite salope...
    
    Ils rient de la plaisanterie. Je vois sur la table basse du salon des accessoires bien alignés. Il y a un mors, un gros vibromasseur et un plug anal, épais et court. Tous ces ustensiles sont métalliques et brillent de tous leurs éclats. Hormis le mors, les deux autres objets sont posés verticalement. Ils se dressent debout sur la table. L’ensemble apparaît obscène face au raffinement de la pièce. Les deux hommes remarquent notre retour. Maître FX nous adresse la parole:
    
    — Vous voici de retour...
    
    Monsieur le Comte me demande :
    
    — Approche un peu, petite chienne, tu es adorable dans cette tenue...
    
    J’avance vers son fauteuil. Je m’arrête à un pas. Il en profite pour glisser sa main entre mes cuisses et arriver en haut, il me pince à l’intérieur de la cuisse. Je fais un écart de la jambe.
    
    — Toujours aussi douillette...
    
    Puis s’adressant à Maître FX :
    
    — Me permettez-vous de la vêtir comme j’ai envie ?
    
    — Elle est à ...
    ... vous...
    
    Anaïs, merci de la mettre en tenue décente pour dîner...
    
    — Viens salope...
    
    Dans un coin du salon, sur une desserte, un sac en papier kraft de grande taille trône. Anaïs en sort une petite robe noire à bretelles fines.
    
    — Enfile ça, cela cachera ton cul et tes nichons...
    
    J’enfile la robe. Elle est très courte et s’arrête très au-dessus de mes genoux. En réalité, elle s’arrête au-dessus de la bande plus sombre de mes bas. Le haut s’accroche à la pointe de mes seins et la découpe dans le dos montre le début de la raie de mes fesses. Anaïs plonge la main dans le sac et sort des bracelets de cuir.
    
    — C’est pour tes chevilles et pour tes poignets.
    
    Elle m’équipe. Chaque fois que je me retrouve harnachée ainsi, le plaisir monte en moi. Je serre les cuisses de joie. Anaïs me ramène vers le centre du salon. Monsieur le Comte s’adresse à moi :
    
    — Chère petite salope, tu ne vas pas manger avec nous sans être contrainte. Oh, rassure-toi, ce n’est pas grand-chose. Regarde sur la table ! Choisis ton accessoire pour le dîner...
    
    — Heu...
    
    — Tu ne peux pas avoir le mors, alors choisis entre les deux autres...
    
    Le gode est énorme et je me vois mal assise m’enfonçant cette bitte factice dans le ventre.
    
    — Heu, je prends le plug...
    
    — Bien, avance, tourne-moi le dos et remonte ta jupe, et penche-toi en avant...
    
    J’exécute les ordres sans broncher...
    
    — Penche-toi plus encore...
    
    Je suis souple et je pose mes mains sur mes chevilles.
    
    — Écarte tes pieds. Et ...
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