1. Mes deux nouvelles voisines : la fille ou sa mère ?


    Datte: 30/05/2020, Catégories: fh, ffh, fplusag, jeunes, couple, extracon, ascendant, alliance, voisins, nympho, hépilé, fépilée, vacances, danser, voiture, amour, fsoumise, jalousie, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, BDSM / Fétichisme entreseins, facial, Oral pénétratio, init, Auteur: Noisybird, Source: Revebebe

    ... terminé, j’emmène donc Jess chez moi, espérant qu’elle souhaitera vite rentrer chez elle. Je me pose sur le canapé en cuir du salon. Jess vient s’y étendre, la tête sur mes genoux. Aujourd’hui, elle a mis un petit haut noir assez décolleté. Couchée comme ça, j’ai une belle vue plongeante sur ses jeunes seins généreux. Je ne peux pas retenir ma main d’aller les caresser doucement, comme ça.
    
    — Me donne pas envie, marmonne-t-elle, tu sais bien que je peux pas.
    — Je peux bien les caresser un petit peu, dis-je, taquin.
    — Oui, mais c’est frustrant.
    — Et moi, tu crois que je ne le suis pas, frustré ! mens-je en prenant un air offensé.
    — Pauvre de toi, se moque-t-elle. Remarque…
    — Quoi donc ?
    — Rien ne m’empêche de me servir de ma bouche.
    
    Et là, mon cerveau a beau me dire « Non, non, tu ne seras pas en forme pour honorer sa mère, refuse ! », mon sexe se durcit légèrement, me disant d’une voix sournoise « Oh oui, une petite pipe sur le canapé en cuir ! » Jess le sent évidemment et se redresse. Elle passe la paume de sa main sur mon bas-ventre.
    
    — Ça n’a pas l’air de te déplaire, mon idée.
    — C’est à dire que, je ne sais pas. Enfin…
    — Tu n’as pas envie que je prenne ta queue entre mes lèvres, que ma langue te titille doucement le gland, que je te prenne bien en bouche, que je te laisse venir à l’intérieur ? me dit-elle d’une voix coquine tout en s’agenouillant devant moi.
    
    En vérité, elle ne me laisse guère le choix. Et quelle raison pourrais-je invoquer ? Aucune ...
    ... qui soit valable. Je ne vais pas lui dire « Non, ma belle, tout à l’heure je compte finir ce que j’ai entamé ce matin avec ta mère. » Alors elle défait mon pantalon, je le descends, elle baisse mon caleçon sans ménagement, affamée, et alors que je m’enfonce dans le canapé, ses lèvres fondent sur ma queue qui bande instantanément dans sa bouche. Elle me branle énergiquement, me suce à rythme soutenu, essaie de prendre ma queue profondément entre ses lèvres, passe sa langue tout le long de mon sexe en me regardant avec gourmandise.
    
    En dix jours, elle est devenue une pro de la fellation. Je sais qu’elle peut me faire jouir sans que je l’aide comme la première fois. Mais cette fois, je ne dois pas jouir, il ne faut pas. Et en même temps, je sais que je ne pourrai pas tenir très longtemps. Concentrée sur ma queue, Jess ne voit pas que ma main saisit mon portable, laissé dans le creux du canapé. Je compose le numéro de la maison, et quelques secondes plus tard, le téléphone fixe sonne énergiquement.
    
    — Oh non, on s’en fiche, laisse-moi te sucer encore et encore, me dit-elle d’une voix féline.
    — Non, non, il faut que je réponde, excuse-moi.
    
    Et je m’enfuis comme un voleur à l’autre bout du salon, le sexe à l’air, le pantalon sur les pieds, cachant mon téléphone portable dans une main, décrochant le fixe de l’autre. Je commence à simuler une conversation improbable avec mon banquier. Mais Jess s’en fout, se relève, retire son petit haut, dégrafe son soutif noir lui aussi, me ...
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