Mes deux nouvelles voisines : la fille ou sa mère ? - Histoires de Sexe

Mes deux nouvelles voisines : la fille ou sa mère ?

... poches, je n’ai pas d’autre choix que de faire passer mon petit mot en glissant ma main sur sa peau nue. Quelles cuisses, quelles douces fesses nues ! Je ne peux m’empêcher de les caresser quelques instants avant d’insérer mon bout de papier sous l’élastique de son string et de retirer ma main, innocemment…

Le soir, frustré, alors que je m’apprêtais à aller m’amuser tout seul sous la douche, je reçois un SMS d’un numéro que je ne connais pas :

J’analyse son message. « Probablement », ça ne veut pas dire « jamais ». Et j’en déduis aussi que quitte à tromper son mari, elle préfère le faire dans son dos plutôt qu’en sa présence consentie. Je lui réponds :

Quelques secondes plus tard, réponse :

Elle joue avec mes nerfs, mais je ne me laisse pas abattre. S’ensuit un long échange de SMS :

Ce dernier message me laisse perplexe. Se fout-elle de moi ? Ou alors est-elle sincère ? Ça vaut le coup d’essayer. Demain, 10 h 30, Cathy sur le siège passager de ma 206…

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Naturellement, à 10 h 30 tapantes, je suis devant la maison de Cathy. Mais c’est Jess qui sort et qui marche jusqu’à ma maison :

— Salut toi ! me lance-t-elle avec un sourire délicieux.
— Salut, réponds-je sobrement.
— Ma mère finit de s’habiller, elle arrive.

« Oh oui, Cathy, choisis bien tes vêtements… »

Puis, alors que je suis adossé à ma voiture, Jess vient se blottir contre moi, la tête sur mon torse. Ce n’est pas vraiment le moment, mais je me sens bien obligé de ...

... la prendre dans mes bras.

— Vivement la semaine prochaine. J’ai envie de toi, me dit-elle à voix basse.
— Moi aussi, ma belle.

Ce qui n’est pas entièrement faux non plus. Elle dépose un baiser sur mes lèvres puis retourne chez elle. Trente secondes plus tard, voilà Cathy.

Toujours aussi belle, mais aujourd’hui habillée un peu plus chastement. Sa jupe beige lui descend cette fois juste au-dessus des genoux, et sa chemise blanche ne dévoile pas vraiment trop ses seins à mon regard. On dirait un peu une secrétaire, mais ça lui va pas si mal. Sûrement pour me faire rager qu’elle a décidé de se couvrir un peu plus.

Nous nous faisons la bise et nous nous asseyons chacun à notre place. Je commence à rouler, et une demi-minute plus tard, je prends la parole :

— Tu sais que je pourrais t’emmener loin, histoire de te faire sauvagement l’amour dans un bois sombre où personne ne nous trouverait ?

Elle rigole puis répond :

— Je ne suis pas sûre que Jess trouve bien normal que sa mère ne revienne pas à midi. D’ailleurs, je pense qu’elle a sérieusement le béguin pour toi.
— Il me semblait avoir remarqué ça.
— Et ça te dérange pas de draguer sa mère ?
— Hé, mais je ne suis pas amoureux d’elle, moi ! m’écrié-je. Elle est sympa, gentille, c’est un bon coup, mais c’est tout, hein !
— T’es vraiment sans cœur.
— Elle a 18 ans ; elle retrouvera bien un garçon qui lui plaît un jour, c’est pas le problème.
— Oui. Mais moralement, coucher avec le garçon dont ma fille est ...