Une tranche de vie 15
Datte: 30/05/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Maceron, Source: Hds
... se frotta généreusement avec AL Il n’y aurait pas eu Véro, je lui aurais proposé un petit tour dehors. Ne sachant pas d’ailleurs si elle accepterait, mais ce serait une option un de ces jours. Alors que j’étais de retour à notre table et que je faisais une pose, Véro s’approcha de moi et me dit : « Je vais prendre l’air. » et elle disparut.
Je me dirigeais vers le bar et discrètement vers la sortie, enfin l’entrée et je me dirigeais vers le fond du parking ou j’espérais retrouver Véro. Effectivement je la trouvais derrière un gros 4x4. Je m’approchais et la prenais dans mes bras, nous nous collâmes et s’en suivit un long et sauvage baiser. J’avais appris que si je voulais qu’elle se donne, bien que ce ne soit pas tout à fait dans mes habitudes, il fallait, lui dire ce qu’elle attendait et ce qu’elle aimait entendre. Il était pour le moins surprenant que cette jeune femme, énergique, on avait vu comment elle avait réorganisé et redressé en trois mois le super magasin dont elle avait la gérance, bien éduquée, dès qu’il s’agissait de sexe semblait se dévergonder. Elle avait besoin de l’excitation des mots, pour comme elle avait dit : « s’envoyer en l’air ».
Toujours collé l’un à l’autre, je lui glissais :
Moi : « Viens, j’ai envie de te sauter. Tu disais que ta robe était pratique, montre moi »
Véro : « Défaits ce nœud, la robe s’ouvrira et tu me verra nue, comme je te l’ai dit »
Moi : « Montres moi, défaits le nœud, tu aimes te montrer à poil, ça t’excite » Ce ...
... qu’elle fit et la robe s’ouvrit, Véro apparu complètement nue.
Véro : « Oui j’aime me montrer à toi nue, je sais que ça te fait bander et j’aime savoir que ta queue enfle et que tu vas bientôt me prendre dans ce parking comme un catin. Oui j’aime que tu me le dises. »
Moi : « Donnes moi tes seins, j’aime les lécher, les sucer » Ce qu’elle fit.
Véro : « Oui, J’aime sentir tes mains prendre mes seins à pleine main et les malaxer, j’aime ta langue sur mes seins, têtes moi, aspires les »
Pendant ce temps, elle défit ma chemise.
Véro : « Attends à moi, » me caressant, m’embrassant le torse elle descendit, défit ma ceinture ouvrit mon pantalon et sorti ma hampe et s’accroupissant elle me prit en bouche et commença à me sucer, me lécher. Elle avait toujours une bouche et des lèvres douces, un véritable fourreau chaud et humide, mais une langue active avec un bout de langue coquin. Elle sentit à mes mouvements de va et vient dans sa bouche que la pression augmentait. Elle se releva me laissant sur ma faim et me dit : « Tu prendras ma bouche une autre fois, maintenant je te veux dans moi, je veux te sentir me pénétrer, me baiser. »
Moi : « Tournes toi et relève ta robe. »
Véro se retourna et releva sa robe. Je glissais une main entre ses cuisses qu’elle écarta largement et je prenais sa chatte à pleine main. Je caressais ses lèvres et suivait son sillon jusqu’à son petit trou. Plusieurs fois je me promenais sur et dans ce sillon chaud. Sa chatte devenait de plus en ...