Camille. (7)
Datte: 07/04/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: tomy83, Source: Xstory
... et une fourgonnette. Elles se passent mutuellement une crème hydratante et Camille me dit d’en faire autant. Devant mon immobilisme, c’est à quatre mains que je suis déssapé, crémé et branlé. Elles font calla consciencieusement, je crois même avec un peu de zèle. Elles sourient, Camille passe même la langue.
— Parfait. On s’habille ? Demande Gény.
— Oui, à moins que tu veuilles y allez dans cette tenue ?
— Ça ne me dérangerait pas... Répondis-je.
Les sourires qu’elles me font sont empreints d’une perversité sans nom. Elles remontent dans ma voiture pour se changer, s’habiller. Elles me tendent ma tenue pour la soirée. Mon pantalon léger et ma chemise qui m’ont été offerts par ma nièce, et bien évidemment, aucun dessous. J’enfile mon futal, je passe ma chemise. Une main noire me donne mes espadrilles.
Quand elles sortent "enfin", elles sont resplendissantes. Elles portent le même style de jupettes minimalistes que lors de notre sortie au "bar-lounge", mais blanche pour Gény et noire pour Camille. Elles portent leurs petits colliers. Je sens que le séjour de Geneviévre va se terminer en apothéose. Elles remontent leurs jupettes, elles sont nues et les bijoux sont en places.
— Alors, où va-t-on ? Bande de coquines.
— On va là, me dit Camille en montrant son "waze" sur son smartphone. Roule ma poule.
On roule pendant une bonne demi-heure et on ne se retrouve pas très loin de notre camping, devant un camping naturiste. Il doit y avoir une soirée, ...
... j’entends de la musique langoureuse. Camille appelle.
— Coucou, Frantz... Oui, oui, on vient d’arriver. OK, on se gare et on toque, c’est ça ? OK, à tout de suite.
Une fois garé, je demande des explications à ma nièce. C’est Gény qui s’en charge.
— Ce matin, lorsque l’on a été à la douche, on a rencontré Frantz et sa femme, Irma. Ils étaient en train d’attendre qu’une douche se libère, il n’y avait que la cabine réservée aux handicapés de libre. On s’est regardés tous les quatre. On a rigolé. Frantz a exploré la douche et nous a demandé si nous voulions les rejoindre, qu’il y avait assez de place pour nous quatre. Camille et moi, on s’est regardées. Irma m’a pris par la main et m’a entraînée dans la large cabine. Camille et Frantz nous ont suivis. On s’est foutus à poil. En voyant nos bijoux, Frantz s’est mis à tripoter sa femme. Il bandait. On s’est lavé mutuellement. Quand on a enlevé les "rosebud", ils nous ont plaquées contre la paroi et nous ont léché l’anus. C’était divin. Ils ont ensuite procédé à leurs lavements intimes et aux nôtres. Ils nous ont donné rendez-vous ici. Voilà, voilà, vous savez tout, Monsieur.
— C’est pour ça que vous étiez mortes de rire en rentrant des douches ?
— Tu as tout compris, mon parrain d’amour. Et ils savent pour nos relations. Ils nous ont entendus plus d’une fois.
— Bien, il va falloir assumer, vous et moi. Vous êtes mes chiennes pour la soirée, OK. Vous allez connaître pour la première fois la pluralité masculine. Pour ce qui ...