1. Aventures entre soeurs ou Joanna et Anne


    Datte: 29/05/2020, Catégories: Anal Partouze / Groupe Inceste / Tabou Auteur: marika842010, Source: xHamster

    ... aimerait ma place, j’en conviens, l’accompagne, et vois disparaître le sexe d’Anatole… Ils s’embrassent, ils se sont appréciés… Adam, vient par derrière, ouvre sa rondelle, plonge une phalange, elle est bonne elle aussi pour une double pénétration de blacks bien décidés…
    
    Elle jouit vite, ils l’ont prise de concert, adapté leur rythme, elle chante à tue-tête…
    
    - Oh, oui ! Prenez-moi par mes deux orifices, par mon cul et par ma chatte, je me sens putain, offerte au plus offrant, catin de bas étage, j’aime vos deux queues qui me font vibrer de plaisir… Je jouis, je suis votre chose, je veux jouir encore, déchirez-moi, pilonnez-moi ensemble, je vous veux dans mon corps, plantés dans mes entrailles…
    
    Elle jouit, ne s’arrête pas de rugir, des grondements de lionne, de s’envoler, s’agitant sous leurs queues, les embrassant, se donnant comme une chienne, écartelée, perforée, ouverte…
    
    - Oh, oui ! Je vous sens durcir… Venez mes chéris, donnez-moi votre foutre, j’aime en être farcie, couverte, j’aime vous sucer après, avaler votre sperme, vous nettoyer, pour une récompense, pour m’être libérée avec vous…
    
    Et elle le fait, alors je fais pareil et suce avec amour ces sexes énormissimes…
    
    Les deux engins tout neuf, semblent prêt pour la suite.
    
    On doit avancer dans l’autre salon, subir d’autres assauts, avec d’autres partenaires…
    
    Là ils sont allongés, fumant des joints aromatisés… Cela me rappelle mes premières années, où je flirtais le dimanche après-midi, allongée dans ...
    ... la grange avec mes copains du village…
    
    Pâtres des montagnes, fils d’agriculteurs, d’éleveurs, on découvrait la vie, le sexe, sans oser le faire, juste l’effleurer…
    
    Pour effleurer, j’en ai même poussé à bout, découvrant le plaisir masculin de l’éjaculation…
    
    Pour eux c’est simple, le fait d’expulser la semence, leur désir retombe, ils passent à autre chose…
    
    Pour moi, je sentais mes organes réclamer leur présence, mais ado, il n’était pas question d’être protégée… Alors on venait jusqu’à la limite, je me faisais prendre dès le début, puis ensuite, je les suçais avidement et les menais au bout dans une explosion de sperme sur mes joues, et mes seins, parfois sur ma voisine…
    
    Les garçons aimaient venir nous rejoindre, les dimanches d’été, avec mes copines, et on « faisait l’amour » dans le foin, grand mot pour nos débuts…
    
    Je les entendais jouir, dépoitraillées, cuisses ouvertes, le minou en goguette, léché par des langues avides, écartelées, ayant besoin de sexe…
    
    Elles se laissaient pénétrer, jouissant à tue-tête, battant toutes les chattes du village, en intensité…
    
    Mais le risque trop grand arrêtait leur envol même avec un condom… Elles prenaient le membre et le faisait gicler…
    
    Comme moi, comme leur sœur, leur cousine, leur égérie…
    
    Certains me devaient d’avoir été dépucelées dans ces moments de fête, dans un champ sous le regard des vaches, jouissant tant et plus d’une bite agile qui venait les emporter dans le monde des adultes…
    
    Savoir s’arrêter, ...
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