1. Jalouse de lui (6)


    Datte: 29/05/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: OneeChan, Source: Xstory

    ... : les lèvres embrassaient avec romantisme et sensualité les couilles, la tige et le gland qui se dévoilait pendant le va-et-vient. Une véritable peinture vivante devant mes yeux que je ne pouvais pas m’empêcher de profiter avec la main dans la culotte.
    
    Je titillais mon clitoris tandis qu’Antoine goutait à son premier pénis, qu’il attaquait maintenant avec rapidité mais imprécision, il ne descendait pas très loin, mais on commence bien étape par étape non ?
    
    Antoine toujours à quatre pattes en train de sucer Didier, lui-même dans son fauteuil la tête en direction du ciel, profitant au maximum de la situation, j’en profitai pour me décaler derrière Antoine et lui malaxer l’anus.
    
    Il sursauta mais n’arrêta pas pour autant son repas qu’il dévorait avec grand appétit le salaud !
    
    Mon doigt se fit rapidement remplacer par ma bouche. Je vins à mon tour embrasser son auréole jusqu’à lécher cette partie sensible qui le faisait gémir en quelques allers-retours rugueux sur ses fesses.
    
    Après un très court temps d’adaptation, je lui broutais dorénavant le cul, quitte à insérer ma langue dans son intimité qui s’ouvrait avec grand plaisir devant mes assauts oraux.
    
    Ces assauts rendit de nouveau toute sa vigueur à la bite d’Antoine, qui se dressait et cognait contre le bas du ...
    ... fauteuil au gré des mouvements des acteurs de cette splendide scène.
    
    J’ajoutais un doigt à ma bouche, qui rentrait de temps en temps en lui, presque trop facilement. Son cul acceptait sans problème ce premier doigt comme si c’était une habitude pour lui.
    
    On l’entendait plus le Didier pendant qu’Antoine lui suçait le membre depuis quelques minutes maintenant.
    
    — Eh Papi, t’as déjà touché une bite ?
    
    Il ouvrait les yeux et comme à son réveil un peu plus tôt, balbutia :
    
    — Heu ... quoi ... heu ... non jamais, je suis pas pédé quand même.
    
    — Tu ne veux quand même pas mourir bête non ?
    
    J’étais tellement prétentieuse, je n’avais jamais parlé comme ça avec Didier mais la situation me rendait humide, même si le mot était bien trop faible vis-à-vis de l’état de ma chatte à ce moment-là.
    
    — Antoine lève-toi, je prends le relai, va te faire plaisir !
    
    Avant que les deux réfléchissent, je le souleva et le plaça de façon à ce que la main de Didier touche sa queue, tandis que je descendais gouter moi aussi à cette belle verge.
    
    Antoine était rouge comme à son habitude ces derniers temps mais droit comme un I, Didier lui tâtait le terrain, ne sachant pas trop où donner de la tête en masturber son petit-fils et regarder sa petite-fille le sucer, difficile comme choix n’est-ce pas ? 
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