LAQUELLE 3
Datte: 28/05/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Accent, Source: Hds
... ne veux pas m’apprendre à danser, nous resterons assis. Tu pourras me raconter les exploits sexuels de René contre les murs ou dans son inconfortable coupé sport de location. La prochaine fois recommande lui une berline à vitres teintées, on verra moins les fesses de ses victimes.
- Mais qu’est-ce que tu racontes? Quand aurais-tu vu mes fesses?
- Ma voiture stationnait près de la sienne il y a deux semaines, j'ai vu ton héros donner du plaisir à une danseuse que j'ai failli confondre avec toi. Samedi dernier sa fille a dû te contenter d’une masturbation et d’une léchouille puisqu’il s’était épuisé avec qui tu sais. Ne me raconte pas qu'il ne t'a pas traitée comme les autres filles qu'il baise hors de cette salle.
- Mais tu m’espionnes, c’est honteux, espèce de vicieux. Par bonheur, tu te trompes, René est bon danseur, mais il ne m"a pas sautée comme tu le crois. Il s'en prend à d'autres?
- J’ai une voiture magique, il suffit que j’y prenne place pour voir ton cher René en action, avec toi ou une quelconque proie, occupé à lutiner ou pénétrer la nana de façon acrobatique dehors, contr un mur ou contre un arbre. Suis-je coupable ou condamnable de ne pas baisser les paupières?
Les deux amoureux ne suivent pas notre conversation. Margot ne lâche pas son Alfred chéri. Le monde peut s’écrouler, ils n’en sauront rien. Toujours aussi discrètement, pendant la bouderie de ma prisonnière, je dégage mon poignet et attache la menotte dans un anneau sous la table.
- Que ...
... fais-tu? Ah! Non. Pas ça. Je te jure que j’irai danser toute la nuit avec toi... Si tu ne me détaches pas, René te cassera la figure.
La promesse est suivie de la menace. Grand classique qui devrait me jeter à ses pieds.Je me lève et vais attendre à l’entrée l’arrivée de Jeanne, Denise et Françoise. Nous irons à l’autre bout de la salle, à la deuxième table réservée. Qu’elle est belle ma petite Jeanne. Elle me saute au cou, dépose un gentil baiser sur mes joues. Jenna se penche pour constater avec rage mon occupation nouvelle. De la piste je lui adresse des signes amicaux au passage. Elle a examiné l’extrémité des menottes sous la table. Seule la clé la délivrera. La clé est dans ma poche. Par le détail je raconte à Jeanne ma vengeance. Elle me trouve cruel. A sa prière je promets de libérer Jenna à minuit, pas plus tard, après le départ des trois cousines.
" Zorro...René est arrivé, hé, hé. Sans s’presser hé, hé. Le grand René, le beau René, sans son cheval et sans son lasso." Il a trouvé Jenna seule, affligée, en larmes mais effrayée par les moqueries que déclencheraient des appels au secours et donc beaucoup plus discrète que prévu. Il a écouté, a inspecté le piège, s’est relevé désolé et furieux et il m’a cherché du regard.
Il m’aborde, m’ordonne de libérer ma collègue ou je devrai aller régler ça entre hommes à l’extérieur. Nous sortons sous la pluie. Je n’utilise mes prises de judo qu’en cas de défense. Une fois René s’écrase sur le dos, prend son temps pour se ...