1. Chatons et chatte sont à la fête


    Datte: 07/04/2018, Catégories: fh, hotel, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, Oral jeu, attache, yeuxbandés, gifle, fouetfesse, Auteur: Mariechriss, Source: Revebebe

    ... avale ses couilles et les suce longuement comme un bonbon. De longues minutes passent mais Jean ne veut pas jouir tout de suite. Il s’éloigne de la bouche de Marie-Claude qui reste langue pendante. Sa chatte ruisselle et ses cuisses sont légèrement humides.
    
    Jean approche ses doigts de la chatte de Marie-Claude et commence une lente masturbation, passant lentement des petites lèvres au clitoris et revenant au bord de l’orifice béant. Son doigt glisse jusqu’à l’anus et le titille du bout de l’ongle. L’anus se contracte et palpite comme s’il voulait croquer le doigt fouilleur de Jean.
    
    Marie-Claude gémit sous les caresses et Jean la promène de longues minutes au bord de l’orgasme mais se refuse à lui donner ce plaisir que tout son corps réclame maintenant. Elle est redevenue soumise à Jean et celui-ci apprécie en connaisseur.
    
    — Tu vois ma douce beauté, maintenant tu sais que tu dépends de moi et la journée va être longue, très longue et tu n’es pas prête de jouir.
    
    Et pour mieux en convaincre Marie-Claude, il laisse son clitoris dur comme un diamant, mouillé comme une fontaine, en érection mais insatisfait. Marie-Claude gémit de dépit et se fait langoureuse pour essayer de séduire son bourreau.
    
    — Jean, mon amour, mon ange, fais-moi jouir ! Je serai docile, je serai ta maîtresse, ton esclave, ta chienne si tu veux, mais fais-moi jouir ! C’est trop fort, ma chatte va exploser, ouiiiii je vais jouir. Comme cela, oui encore, touche-moi, ouii touche-moi, je ferai ce ...
    ... que tu veux. Ouiii.
    
    L’orgasme tourne dans le bas-ventre de Marie-Claude mais se refuse à éclater, Marie-Claude se tord, veut se rouler par terre pour pouvoir serrer ses cuisses, les frotter entre elles pour libérer cette énergie qui la possède en entier. Mais Jean a vu venir la manœuvre et il l’attrape et la maintient à genoux. Marie-Claude est comme folle, elle donne des coups de reins, bouge ses jolies fesses, remue ses seins dans tous les sens mais rien n’y fait. Il lui faut un sexe, une main habile qui la fouille, une langue qui lui suce le clitoris. Ah se faire défoncer par une grosse queue ! Ah si Bébert était là, il la défoncerait lui, il la prendrait comme un hussard, il saurait la faire jouir.
    
    — Jean, Jean, je… Je t’en supplie, fais quelque chose, j’en peux plus.
    
    Jean sourit en la regardant s’agiter, il devine ce plaisir latent qui ne se concrétise pas, il apprécie le spectacle. Mais ce n’est pas le moment qu’il a choisi pour la faire jouir. Alors ses mains descendent vers les seins de Marie-Claude et il commence à les malaxer doucement puis de plus en plus fermement pour finir sur les tétons dont il apprécie la dureté.
    
    — Magnifique ces seins, voyons ce que savent faire les tétons.
    
    Il les prend entre le pouce et l’index et commence à les pincer, les caresser, les tordre lentement mais inexorablement. Des décharges électriques traversent le ventre de Marie-Claude au rythme des mouvements de Jean. Son orgasme s’est replié, mais d’autres plaisirs sont en ...