La Grotte aux Fées
Datte: 27/05/2020,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
hplusag,
fplusag,
hagé,
fagée,
jeunes,
frousses,
copains,
forêt,
jardin,
parking,
voiture,
vengeance,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
Humour
policier,
aventure,
Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... rouge, moulante jusqu’à l’indécence, qui ne lui arrive tout juste qu’à mi-cuisses. De plus, perchée sur une paire de hauts talons invraisemblables, elle est quasiment plus grande que moi. Devant ma stupéfaction, elle s’explique :
— Ce soir, tu m’emmènes en boîte, et j’ai envie de faire baver tous les mâles qui s’y trouveront. Et j’espère bien aussi faire crever de jalousie toutes les autres filles !
De fait, dans cette robe aussi discrète qu’une voiture de pompiers, je crois bien que même les aveugles se retourneraient sur elle. Elle poursuit :
— Mais c’est quand même toi qui finiras dans mon lit. Allez, on y va ?
C’est dans ce genre de cas que l’on se dit que l’armée a décidément du bon : bien que je sois en civil, mes cheveux courts trahissent mon appartenance à la bidasserie. Et comme ceux de mon régiment ont la réputation de ne pas être des tendres, j’ai droit à une paix royale… Par contre, quelque chose me dit que les retours de certains couples vont être mouvementés, soit parce qu’ils défonceront la banquette arrière, soit parce qu’il y aura de terribles crises de jalousie.
Pour moi, par contre, la situation a été plus difficile… À force de voir Isabelle se déchaîner sur les boum-boum à la mode, j’ai été plusieurs fois à deux doigts de l’emmener dans un coin plus sombre de la boîte et de la punaiser contre le mur comme un forcené. Et là encore, quelque chose me dit qu’elle en aurait été ravie, d’autant que je veux bien parier qu’une fois de plus elle ne ...
... porte strictement que sa robe et rien d’autre.
Un petit coup vite fait dans la bagnole ? Il y a sans doute mieux à faire. La fourrer sur le capot de cette même bagnole ? En vérité, ce genre de plan n’a véritablement de charme que lorsqu’il fait jour et que le risque de se faire prendre est au moins aussi excitant que ce que l’on fait vraiment. Celui qui ne s’est jamais retrouvé en train de ranger Azor précipitamment tandis que la demoiselle redescend sa robe tout aussi promptement alors que sa culotte est encore sur ses chevilles – ou mieux encore, accrochée à l’essuie-glace – ne sait pas ce que se sentir vivant veut dire.
Bref, c’est quasiment les mains tremblantes que j’entre dans l’appartement… Pas le temps pour Isabelle de poser son sac ou d’ôter son manteau : je l’attrape par le bras, la dépose sur le buffet de l’entrée et, en un instant, je me retrouve fiché tout au fond d’elle. Comme je m’en doutais, elle ne porte rien sous sa robe, ce qui explique ce torrent de mouille qui s’écoule quasiment le long de ses jambes… S’ensuit alors une séance de pilonnage où le buffet contre le mur est à deux doigts d’ébranler tout l’immeuble et, en deux minutes à peine, la voilà qui grimpe aux rideaux. Pour moi, par contre, c’est un peu plus long, ce qui ne l’empêche pas d’en remettre une couche quelques instants plus tard lorsque je me vide tout au fond de son ventre. Elle reprend son souffle, malicieuse.
— J’ai un meuble qui vient de ma grand-mère dans le salon… Tu crois qu’il ...