Le bal de clôture
Datte: 07/04/2018,
Catégories:
fh,
hh,
hbi,
couleurs,
vacances,
intermast,
Oral
pénétratio,
hdanus,
hsodo,
Auteur: Kudu, Source: Revebebe
... O O O O O
— Je vois que je te fais de l’effet, j’ai envie de la toucher, me dit-elle, joignant le geste à la parole.
Je regarde, interrogateur, vers Christine déjà occupée à caresser celle de Fahri qui lui pince les tétons et les fait rouler sous ses doigts. Elle m’indique, haussant les épaules, sa main libre et celles de Fahri. Je suis affranchi, ma main droite se pose sur la cuisse de Carmen, la gauche sur ses seins. Mon index droit file vers la flèche pileuse et se pose sur le haut de la fente pendant qu’elle manipule délicatement ma verge, dégageant puis recouvrant le gland. Je tremble, mon cœur bat la chamade et les joues me brûlent. Je bascule vers elle, je vais m’offrir à une autre, une autre s’offre à moi. Ma bouche trouve la sienne douce et chaude, nos lèvres se touchent, nos langues se livrent à un duel acharné, à qui occupera la bouche de l’autre. Je délaisse sa bouche, ma langue va câliner son cou, entre l’oreille et l’épaule. Elle tressaille, poussant un petit cri et plie la tête sur l’épaule. Je change de côté, j’embouche son oreille, je glisse la langue dans le conduit. Mon index droit glisse délicatement sur sa fente, pas besoin de forcer, les lèvres s’écartent d’elles-mêmes. La main gauche caresse son sein droit, pince le téton dressé, le roule entre les doigts, la faisant soupirer et gémir.
— N’arrête pas, continue. Aaaah !
Je m’agenouille au-dessus d’elle, je continue à lui lécher l’oreille puis le cou, je descends vers les épaules, j’effleure ...
... au passage les aisselles parfumées. Elle se tend, s’arrête de branler mon sexe et elle serre mes testicules entre ses doigts, il était temps. Mon excitation baisse d’un cran, tant mieux, la pointe de la langue descend vers ses seins, gobe les aréoles, atteint les tétons, tout durs, tout érigés. J’ai les oreilles pleines de ses petits cris. L’index se faufile dans son intimité, s’enduit de cyprine et remonte vers le haut de la fente à la rencontre de la petite perle. Je m’écarte d’elle pour la regarder, la contempler. Les lèvres sont grandes ouvertes, la corolle des nymphes ressemble à des pétales de pivoine rose, elle sent la mer, les pins, la nature. Sa voix répond à celle des mouettes.
J’entends aussi d’autres cris, Fahri et Christine se lâchent et se lèchent mutuellement le sexe, avec, chacun, des doigts enfoncés dans l’intimité de l’autre.
Mes mains, délaissant la grotte humide, empaument ses seins, je découvre la fermeté des tétons et je devine l’état dans lequel elle se trouve avant de lui chuchoter à l’oreille :
— C’est depuis ce matin que j’espérais ce moment.
— Moi aussi.
— J’ai rêvé tout au long de notre voyage et de notre promenade tenir tes seins en main, surtout à chaque fois que j’avais l’occasion de poser la main sur ta cuisse.
— Tu ne t’en es d’ailleurs pas privé, petit coquin.
— Et la petite cochonne que tu es n’a pas davantage dit non.
Pendant quelques minutes, j’alterne massage des seins et torture de tétons dressés, durs, arrogants. Sans un ...