1. Le bal de clôture


    Datte: 07/04/2018, Catégories: fh, hh, hbi, couleurs, vacances, intermast, Oral pénétratio, hdanus, hsodo, Auteur: Kudu, Source: Revebebe

    ... d’un cran, je suis agenouillé, ses cuisses toujours sur les épaules, le gland violet entrant et sortant de son anus.
    
    Sa verge se redresse, elle laisse échapper une longue coulée de sperme. Il gémit en continu, un son aigu sort de sa gorge devenant de plus en plus fort, presque strident. Je me pousse à fond en lui, il hoquette de surprise, me regarde droit dans les yeux et me dit :
    
    — Vas-y, lâche la cavalerie, ne pense plus qu’à toi.
    
    Je ne demande pas mieux, je sens que l’apothéose arrive. Je lui ramone le rectum à toute allure, mon ventre claquant à chaque poussée contre ses fesses. Je sens de mon côté la boule se nouer dans la région anale. De son pénis, le filet de sperme continue à se déverser vers le lit. La boule que je ressens se met en mouvement, je grogne, elle traverse ma verge à toute allure, je retiens mon souffle, elle jaillit par le méat, je gronde, je me libère, je suis pris, je suis vaincu, je suis victorieux.
    
    Assis devant mon PC, je revis la volupté de ces moments magiques, mon sexe est dur, le gland humide se montre. Encore aujourd’hui, même si je préfère la vie courante avec Laura, les relations intimes avec les hommes me sont toujours aussi agréables. Laura le sait pour moi, je sais pour elle, nous sommes des inconditionnels du polyamour et de la plurisexualité.
    
    O O O O O O O O O O
    
    Deux jours plus tard, je me retrouve tôt chez Fahri pour notre petit voyage au bassin. Nous embarquons les boissons dans la glacière, une caisse contient ...
    ... les assiettes, gobelets, couverts et autres accessoires. Direction l’autre extrémité du camp où Christine nous attend avec les victuailles. Je l’invite à prendre place à l’avant. Moins d’une heure plus tard, nous sommes à l’extrémité du Cap-Ferret, océan à droite, bassin à gauche, dune du Pilat, droit devant.
    
    — Nous sommes arrivés chez Carmen, nous dit Christine, elle loge ici.
    
    Nous débarquons tous les trois, Christine devant. Une espèce de Nafi Thiam, aussi grande que moi, la peau caramel, des jambes interminables mises en valeur par un boubou court, des yeux noirs et rieurs, les dents éclatantes en ajoutant aux yeux. Si je fonds, autre chose de moi se raidit. Heureusement, je porte de nouveau ma djellaba. Nous entrons, Carmen nous offre un café et nous échangeons quelques paroles, le soleil, les textiles sur les plages du cap, la convivialité du centre naturiste, le final du Tour de France entre Greg LeMond et Laurent Fignon, et autres futilités. Je ne parviens pas à quitter Carmen des yeux, elle m’hypnotise.
    
    Christine nous donne le signal du départ. Elle embarque à côté de Fahri, Carmen me rejoint sur la banquette arrière presque à me toucher, je n’en mène pas large. Ses cuisses, à l’apparence douce et chaude, se dévoilent sur près de trente centimètres au-dessus des genoux, j’ai la gorge sèche et je transpire alors qu’il n’y a encore que 24 degrés. Elle tend la main, la pose sur la mienne, sans bouger. Ma gorge se noue et ma verge se déploie. Carmen sent bon la ...
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