1. Le peintre et sa muse 17 : Avant la punition


    Datte: 26/05/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Le relieur, Source: Hds

    ... direction du restaurant de François.
    
    Après le repas de midi elle se promena en ville, ce qui aurait pu passer pour une sortie distrayante, faire un peu de lèche vitrine, visiter quelques magasins et faire quelques essayages.
    
    Mais non, les pensées érotiques ne quittaient pas son esprit, et à un moment elle eut juste le bon
    
    réflexe d’entrer dans un magasin car elle avait aperçu la camionnette des peintres, et cette vision détermina la mise à feu du désir qui couvait en elle.
    
    Surtout qu’à travers la vitrine elle reconnaît Aziz côté passager, et Pedro au volant.
    
    Alors sa vulve s’est mise à palpiter et s’humidifier.
    
    Annie a attendu quelques minutes en déambulant dans le magasin avant de se hâter de regagner le domicile.
    
    Avant de rentrer chez elle, Annie a fait quelques emplettes dans la superette près de chez elle, quelques achats pour les repas à venir et elle se dit qu’il lui restait quatre jours avant le retour de ses hommes.
    
    En passant devant le rayon légumes, son regard se pose sur les concombres, non sans créer un trouble en elle, bien compréhensible après ce qui s’était passé. Afin de calmer son corps elle délaisse les concombres pour porter son dévolu sur les autres légumes, elle prend un chou fleur, mais ce faisant elle frôle du dos de sa main les courgettes tout à côté, et là c’est comme si elle venait de prendre une décharge électrique du haut voltage qui vient de faire se liquéfier son sexe.
    
    Elle sent ses lèvres se gonfler son vagin ...
    ... palpiter, elle reste appuyée sur l’étal de crainte de tomber. Quand elle reprend un peu ses esprits, sa main s’est refermée sur une des courgettes, alors avec une certaine effervescence elle choisit quelques courgettes comme si elle faisait son choix devant un étalage de pénis, elle prend celles qui lui semblent être dans la mesure de lui procurer le plaisir auquel elle aspire.
    
    Elle règle ses achats et retourne chez elle précipitamment, pressée d’essayer ses nouveaux amants.
    
    A peine arrivée, juste le temps de fermer le verrou, et de faire tomber manteau et robe et c’est vêtue seulement d’un porte jarretelle et de bas noirs qu’Annie se précipite à la cuisine pour reprendre la pose obscène du matin, fesses au bord de la chaise, pieds en appui sur le bord de la table et jambes écartées, la vulve ouverte humide de liqueur.
    
    Annie choisit la première courgette, bien droite, lisse à souhait et d’un diamètre normal, du moins c’est ce qui lui semble.
    
    Lentement elle frotte ce nouveau didlo afin de bien l’enduire de sa liqueur et de succomber à ce à quoi elle s’était défendue depuis la petite séance avec le concombre, et qu’elle s’était promis de ne pas recommencer.
    
    Mais l’envie est devenue trop irrépréhensible, elle ne se sent plus qu’un sexe avide de pénétration. Le cerveau déconnecté de la réalité, elle écarte ses grandes lèvres d’une main tandis que l’autre enfonce le légume luisant de mouille et maintenant aussi brûlant que les chairs qu’il bouscule.
    
    Elle agite ...
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