Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)
Datte: 26/05/2020,
Catégories:
Première fois
Auteur: Catherinecouple, Source: xHamster
... donc dernier) garage : « Ah non, mon petit Monsieur, il est 16 H 30, on est vendredi, j’ai personne pour aller vous dépanner là ! » ( Et dire qu’on critique les fonctionnaires !) « Si c’est la batterie, soit vous allez en acheter une neuve au supermarché, soit vous m’amenez la votre et on la charge pendant la nuit, si elle n’est pas morte. »
Etape au supermarché, rayon accessoires auto : Evidemment, la référence de ma batterie était « momentanément indisponible. » L’abattement me tomba d’un coup sur les épaules. J’éprouvais le besoin primaire de balancer mon poing à travers de la figure du premier chef de rayon passant à ma portée.
Caroline me prit alors par la taille :
« – Tu sais, le retard, la neige, la panne, le garage, le supermarché et maintenant la nuit qui tombe… j’ai l’impression qu’une force supérieure veut nous faire passer une nuit supplémentaire ensemble » et elle me décocha un petit clin d’œil mutin.
Mon ego d’homme vexé fut d’un coup rassuré. Elle n’avait pas tort.
Après un démontage fastidieux, nous avons confié l’objet du délit au garagiste et nous sommes retournés, avec nos bagages à l’accueil de l’hôtel. Ce n’était pas le même réceptionniste que le premier jour et heureusement. Comment lui expliquer que cette fois nous voulions une chambre unique ?
De retour dans la chambre 127, nous nous sommes réinstallés. On se serait cru revenus une semaine en arrière si ce n’est que nous n’étions plus tout à fait les mêmes. Les collègues distants ...
... s’étaient transformés en amants fougueux.
Tout en vaquant à nos affaires, je ne manquais pas une occasion de coller un bisou dans le cou de Caroline à chaque fois qu’elle passait à ma portée. Parfois j’en profitais pour tâter ses muscles fessiers à travers le jean (En langage clair : je lui mettais la main aux fesses).
A un moment, Caroline m’a fait basculer sur le lit, m’a sauté dessus et m’a roulé une pelle d’anthologie.
Nous en étions à reprendre notre souffle quand une petite idée, genre grain de sable, s’immisça dans mon esprit :
« – Au fait ! Je dois prévenir ma femme de ne pas m’attendre cette nuit. Sinon elle serait capable de ne pas dormir de la nuit et j’aurais droit à la méga scène en revenant. »
« – Tu as raison, moi aussi. Tiens, à toi l’honneur » me dit-elle en me tendant le mobile qui était posé sur la table de nuit.
Je composai donc le numéro de la maison sous le regard attentif et amusé de Caroline restée allongée sur moi, les bras croisés sur mon ventre. Dorothée décrocha et rapidement, je lui expliquai la situation et les raisons de notre retard. Il n’est pas nécessaire de préciser que je n’eus pas les félicitations du jury. La discussion s’annonçait âpre et longue.
Pendant ce temps, en silence, Caroline s’était redressée et avait adopté un petit jeu : elle faisait trottiner deux doigts sur mon ventre. Peu à peu, les deux doigts ont franchi la ceinture de mon pantalon et sont allés se balader sur mon jean, à hauteur de la braguette.
Tout ...