1. Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)


    Datte: 26/05/2020, Catégories: Première fois Auteur: Catherinecouple, Source: xHamster

    ... mains couraient sur ses fesses et ses reins, sur une peau qu’elles connaissaient déjà bien mais qui là, frissonnait à chaque caresse.
    
    Bien que bougeant très lentement, je sentais que je ne pourrais pas tenir très longtemps comme ça, je ressentis le besoin impérieux de lâcher les chevaux. Progressivement, j’accellèrai le mouvement. J’empoignai sa taille fine et m’introduisis de plus en plus fort en elle. A chaque coup de boutoir, je tapais plus fort dans son fondement, à chaque coup de boutoir, nos genoux avaient tendance à glisser et à s’écarter, me permettant à chaque fois d’aller plus loin si c’était encore possible. Ses gémissements se muèrent en cris rauques, gutturaux comme si ma lance lui arrivait au fond de la gorge.
    
    L’assaut fut bref mais intense. Les cuisses écartelées, le bassin secoué de spasmes violents, elle finit dans un long cri qui tenait plus du hurlement (Heureusement étouffé par l’oreiller). De mon coté, tendu comme un arc, je connus mon plaisir dans un grand cri de fauve.
    
    Complètement hors d’haleine, je m’écroulai à ses cotés, ivre de plaisir, comme on dit.
    
    Après avoir retrouvé un rythme respiratoire plus calme, nous avons repris la position « des cuillers collées », toujours sans échanger une parole.
    
    Je me suis endormi, la main sur son sein.
    
    Jour 6 – Vendredi.
    
    Pour la deuxième fois consécutive, je ne fus pas le premier à me réveiller. Caroline avait déjà tiré les rideaux quand, ouvrant les yeux, je plongeai dans le regard baltique ...
    ... qui me fixait.
    
    « – On a fait une grosse bêtise, hein ? »
    
    « – Mouais, on n’aurait pas dû. »
    
    « – Non, c’est clair, on n’aurait pas dû. »
    
    C’est marrant, son petit sourire en coin m’incitait à croire qu’elle ne pensait pas un mot de ce qu’elle disait.
    
    Le menton posé sur son bras lui-même replié sur ma poitrine, elle caressait machinalement mes abdos avec sa main libre.
    
    « – Qu’est-ce qu’on va faire maintenant ? » Demanda t-elle. Son visage se rapprocha du mien et elle posa ses lèvres fraîches sur les miennes. Sa langue trouva la mienne et elles se dirent bonjour.
    
    Elle rompit notre premier baiser d’amants et se releva.
    
    « – J’chais pas. On oublie tout ? » Je passai ma main derrière sa nuque et attirai son visage à moi. Nos langues se cherchèrent et se retrouvèrent facilement, plus longtemps.
    
    « – Tu as raison, il ne s’est rien passé ! » Troisième baiser, plus fougueux.
    
    « – Rien de rien ! » Quatrième rencontre, nos lèvres étaient maintenant très intimes.
    
    « Et qu’est-ce que t’es en train de faire là ? » Sa main était discrètement descendue et fouillait délicatement mon buisson pubien.
    
    « – J’attends la relève de la garde. »
    
    Elle n’eut pas à attendre longtemps. Ma virilité endormie entre mes jambes se releva nonchalamment et arbora assez rapidement une forme olympique.
    
    Elle se redressa avec un sourire coquin et détourna le regard vers le bas de mon anatomie :
    
    « – Sacré Boy-scout ! Toujours prêt ! »
    
    Sa main n’eut que quelques centimètres à ...
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