Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)
Datte: 26/05/2020,
Catégories:
Première fois
Auteur: Catherinecouple, Source: xHamster
... nous sommes allongés chacun de notre coté habituel.
L’hôtel avait dû pousser le chauffage et au bout de quelques minutes j’eus trop chaud. J’en fis part à Caroline.
« – J’ai super chaud ! Ca ne te dérange pas si on baisse les draps ? »
« – Je préfère pas, moi, j’ai plutôt froid. » (Ah les filles ! Rien que des frileuses.)
« – Est-ce que tu me permets d’enlever mon caleçon alors ? » (Les gars qui, comme moi, ont l’habitude de dormir tout nu me comprendront : le moindre vêtement, même un slip, vous donne chaud).
« – Fait comme tu veux, mon grand, on est des adultes responsables, fais-lui prendre l’air si tu veux, si ça peut te faire baisser le thermomètre. » Répondit-elle avec un petit gloussement.
Une demi-heure plus tard, nous ne dormions ni l’un ni l’autre, je la sentais se retourner incessamment sans trouver sa position. Notre discussion du soir nous avait sans doute un peu trop énervés.
Ce fut elle qui reprit :
« – Christophe ? »
« – Moui ? »
« – Est-ce que tu voudrais bien qu’on se mette dans la position des cuillers collées ? D’habitude je m’endors toujours comme ça et là, ça commence à me manquer. »
Je voyais très bien de quoi elle parlait : tous les couples connaissent cette position où la femme se met en position fœtale et l’homme vient se coller derrière elle, dans la même position, comme pour la protéger. Chaque couple a sa manière d’appeler cette position ; avec ma femme on l’appelait la position des jumeaux imbriqués.
« – ...
... Euh…, je te rappelle que je suis à poil là. »
« – Et alors, on est des adultes responsables. »
« – O.K. »
Je passai donc un bras sous sa tête et me collai à elle. Evidemment, ce qui devait arriver arriva, au contact de sa croupe chaude, mon sexe commença à durcir. Et elle le sentit :
« – Vraiment tous les mêmes, les mecs ! »
« – Désolé, c’est mécanique. »
« – Ouais, c’est ce qu’on dit ! »
J’avais un autre souci : D’habitude, dans cette position, ma main libre va systématiquement enserrer un des seins de ma femme, là je ne pouvais évidemment pas le faire et j’étais bien embarrassé pour la poser quelque part. Si je la laissais contre moi, en arrière s’était très inconfortable, devant, elle se coincerait entre moi et ses fesses. J’essayais donc son épaule puis sa taille pour finalement m’arrêter sur sa hanche et laisser ma main machinalement caresser très légèrement sa peau à travers la nuisette.
A ce moment là, quelque chose attira mon attention, ou plutôt, l’absence de quelque chose : je ne sentais pas de culotte sous le tissu de la nuisette ! Après quelques attouchements plus appuyés, cela devint une certitude : elle n’en avait pas !
Alors là, ça sentait la préméditation. Cette idée fit encore grossir mon membre contre sa croupe et j’eus envie de savoir si je me faisais un film ou non ; je tentai donc un début d’approche le plus discret possible.
J’entamai un léger frotti – frotta de mon bassin sur son postérieur.
Au début, il n’y eut aucune ...