1. Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)


    Datte: 26/05/2020, Catégories: Première fois Auteur: Catherinecouple, Source: xHamster

    ... petite culotte (au moins en avait-elle mis une !). Visiblement, bien que cela eut été plus seyant et que la forme des petites fesses s’y prêtât parfaitement, Caroline n’aimait pas porter de string.
    
    « – Fermes la bouche, tu vas finir par gober des mouches. »
    
    « – Euh, ton mec t’a laissé emmener ça ? »
    
    « – Tu crois peut-être que j’avais besoin de son autorisation ? J’ai juste envie de me sentir belle ce soir »
    
    « – Sauf que là tu n’es pas seulement belle, tu es une véritable bombe atomique ambulante ! Si tu sors comme ça, tu vas faire exploser le taux annuel d’infarctus de la ville ! »
    
    « – Ben comme ça les toubibs auront des travaux pratiques pour leur séminaire. »
    
    Tandis qu’elle posait sur son visage un maquillage discret mais raffiné, je me préparais à mon tour et je m’aperçus avec angoisse que je n’avais rien apporté qui puisse (et de loin) rivaliser avec sa tenue. J’allais avoir l’air d’un plouc à ses cotés.
    
    Nous sommes sortis emmitouflés dans nos manteaux, le fond de l’air s’était soudainement rafraîchi dans la journée.
    
    Arrivés au restau légèrement en retard, on nous conduisit vers notre table après avoir pris notre vestiaire. Nos « hôtes » nous attendaient. A notre approche, j’eus l’impression de voir cinq clones du loup de Tex Avery figés dans notre direction (ou plutôt dans la direction de Caroline) : dix yeux s’exorbitaient vers ma camarade pendant que cinq mâchoires tombaient sur la table en laissant se dérouler jusqu’au sol cinq langues de ...
    ... trois mètres de long.
    
    Ils ne firent pas plus de commentaire, leur attitude suffisait. Caroline parue satisfaite de son petit effet.
    
    Je m’assis autour de la table ronde, à la gauche de la seule dame de la tablée qui serait sans aucun doute l’unique point de mire de la soirée ; je n’avais plus à me soucier de mon air plouc.
    
    Le repas fut agréable et joyeux, nous parlâmes beaucoup boulot, chacun y allant de ses anecdotes croustillantes. Caroline et moi narrâmes les multiples imbroglios liés à notre nom commun, lorsqu’on nous prend pour Monsieur et Madame (sans mentionner le dernier en date, évidemment).
    
    Nos interlocuteurs s’avérèrent d’une conversation intéressante, ils étaient assez bavards à l’exception de celui qui était assis directement à droite de Caroline. Celui-là était plongé si profondément dans le décolleté de sa voisine, qu’à mon avis, il lui faudrait respecter un certain nombre de paliers de décompression avant de revenir à la surface.
    
    Au fil de la soirée bien arrosée, la discussion s’orienta sur la vie de chacun et c’est là que je m’aperçus qu’ils étaient tous plus jeunes que moi. Peut-être pas de beaucoup, mais cela suffisait à leur donner des références communes que je ne connaissais pas et petit à petit, je me retrouvais exclu de la conversation, ce qui m’attrista un peu.
    
    A la fin du repas, les gars proposèrent de finir la soirée dans un club pour boire un coup ou deux.
    
    Je trouvais que l’on avait déjà largement bien bu et m’apprêtai à refuser ...
«12...101112...40»