1. Les carnets d'Anita


    Datte: 26/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Vrp75014, Source: Hds

    ... rappelée à l'ordre : " Tenez-vous correctement, au moins ! " J'ai compris qu'il était inutile de résister. En montrant mon sexe à son mari, elle lui a proposé de faire la même chose pour son anniversaire. C'est tout juste s'il n'a pas touché. En tous cas, la scène s'éternisait, il fixait mes tétons… puis enfin j'ai été libérée, enfin d'une certaine manière…
    
    " Vous récupèrerez vos affaires quand vous aurez comblé votre découvert ! "
    
    En me lançant mon manteau, elle a ajouté en riant : " J'ai aussi confisqué les boutons… "
    
    Ils étaient là tous les trois à me regarder, humiliée, même ma conseillère se moquait de moi, trop contente de la bienveillance retrouvée de sa patronne. Je suis sortie de la banque en maintenant tant bien que mal mon manteau contre moi, bien décidée à envoyer un chèque pour solde de tous comptes… Dans le bus, on aurait dit que j'avais froid, ce qui attirait les regards car il faisait bon. Par la doublure de ma poche, j'ai pu atteindre mon sexe trempé, qui devrait attendre encore
    
    Un soir rentrant chez moi, j’ai eu la surprise de voir devant la porte de l’immeuble une personne que je redoutais : une des deux femmes du marché, celle qui m’avait le plus malmenée. Un peu plus loin, j’ai vu sortir d’une voiture l’autre femme que je connaissais, tirant par le bras une autre femme. Inutile de faire demi-tour…
    
    « Tu nous fais monter, il faut qu’on discute ! »
    
    Elle n’avait pas l’air commode et regardait avec insistance dans mon décolleté : j’ai vite ...
    ... compris ce qu’elle exigeait comme préalable, j’ai sorti mon chemisier de ma jupe et j’ai docilement retiré mon soutien-gorge avant de le lui donner. Elle était satisfaite. Les deux autres femmes étaient arrivées entre temps.
    
    Dans le hall, j’ai dû déboutonner entièrement le chemisier, et monter les escaliers sans précipitation. J’étais contente d’arriver à mon appartement sans avoir été vue. Nous sommes alors entrées toutes les quatre. Je sentais bien que j'avais intérêt à être conciliante, à précéder leurs désirs plutôt que de résister « Qu’est-ce que je dois enlever maintenant ? » J’ai compris à son sourire que je ne pouvais rien garder. Elle s’est alors adressée à la nouvelle : « Tu es nouvelle dans la famille, mais on te connaît : on veut juste te montrer ce qui se passe avec les dévergondées… »
    
    Je commençais à m’inquiéter
    
    « Tu vois, celles qui ne se conduisent pas bien n’ont plus le droit à la pudeur : cette traînée va bien écarter les cuisses et t’expliquer ce qui lui est arrivé.. » Je suis allée m'installer sur la table basse, jambes écartées, les mains sur la tête, bien cambrée pour offrir mes seins, dont les tétons étaient déjà bien durs. Et j'ai raconté...
    
    « J’avais envie de me montrer, alors je suis allée au marché essayer des vêtements, sans mettre de soutien-gorge… Je voulais qu'on voie mes seins, absolument»
    
    Pendant dix minutes, rouge de honte, j’ai dû détailler toutes les humiliations que j’avais subies, jurer de me déshabiller à chaque fois qu’on ...
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