Les carnets d'Anita
Datte: 26/05/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Vrp75014, Source: Hds
... la dernière fois de la matinée je me suis décidée : petit haut moulant sur seins nus, jupe plutôt courte, string, chaussures. Je suis arrivée au marché, bien décidée à trouver une robe légère...
Rien ne me plaisait, les commerçants n'avaient pas l'air engageant. Enfin j'ai vu un étal mieux garni, deux vendeurs bavards et de bonne humeur. Un coup d'oeil autour, pas grand-chose pour se cacher. Je sentais mon coeur battre de plus en plus fort...
"Je peux essayer ?"
L'un des deux vendeurs m'indiqua le camion du doigt. J'ai croisé une femme au regard mauvais, sans y prêter attention, puis je suis montée. C'était un peu sombre, mais impossible de s'avancer dans le fond ni de pousser la porte, encombrée. Je me suis retournée pour enlever mon haut et ma jupe, ainsi presque nue, j'ai dû faire face à l'extérieur pour attraper la robe à essayer. C'est alors que la femme est arrivée vers moi, visiblement énervée, parlant au téléphone... Elle est montée d'un bond dans le camion et a saisi la robe. "Petite pute, je vais t'apprendre à allumer les hommes de la famille !"
A peine avait-elle fini sa phrase qu'une autre femme est entrée dans le camion. "C'est elle ?" L'autre a répondu que oui. La première à arraché mon slip, et elles m'ont sortie du camion en m'insultant. Tout le monde se retournait, j'étais totalement nue en pleine ville. Des femmes m'ont jeté des fruits, d'autres m'ont frappée au passage. J'ai été entraînée jusqu'à une voiture, où se trouvait une troisième femme, ...
... prête à démarrer. Alors que les deux autres m'installaient sans ménagement à l'arrière sous le regard de passants qui s'agglutinaient, elle a démarré. La voiture est partie immédiatement, mais tout doucement...
Durant tout le trajet, elles m'ont griffée, giflée, m'obligeant à garder les cuisses ouvertes, pinçant mes seins. Je sentais leur mains claquer un peu partout sur mon corps. La voiture s'est arrêtée une première fois, et les gens sont venus s'agglutiner autour de nous. J'étais exposée sous toutes les coutures, et, malgré mes suppliques, bientôt la vitre s'est baissée : une dizaine de mains ont commencé à me malaxer tout le corps. Bras et jambes fermement tenus, j'ai dû laisser faire : hommes et femmes prenaient plaisir à m'humilier, à m'insulter. Enfin la voiture est repartie, nous sommes sorties de la ville…
Nous sommes arrivées au bout d'une zone pavillonnaire en fin de construction. Elles m'ont entraînée dans le jardin, où un portique venait d'être installé. Je gémissais. J'ai été attachée les bras en l'air devant mon visage, les jambes écartées par une barre. Je devais me tenir sur la pointe des pieds et je ne voyais presque rien. Elles ont chacune pris un martinet et me les ont montrés. Et puis ça a commencé. J'ai été rougie des pieds aux poignets, j'avais les seins en feu, je gémissais à chaque fois que les lanières s'abattaient à l'intérieur de mes cuisses. Je n'entendais même plus les insultes. Puis l'une des trois a mis fin au supplice.
" Puisque tu ...