1. Payer le loyer Ch. 04


    Datte: 07/04/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica

    ... et totales prostituées. Au début, elles ne veulent pas, mais elles prennent goût à l'humiliation, c'est merveilleux à voir.
    
    Il lève les yeux vers le ciel. Puis il sort de ses pensées et se souvient de son « ami » qui donnerait sa vie pour ma chatte. Il dit assez fort :
    
    - Vous pouvez entrer maintenant!
    
    Je retiens mon souffle et regarde en direction de la porte.
    
    - Oh mon Dieu, s'il vous plaît, pas lui! Dis-je discrètement tout en pleurant.
    
    Dans l'encadrement de la porte, se trouve mon voisin qui habite juste en dessous de nous. Dire qu'il est bizarre est un euphémisme. Il ne quitte jamais son appartement et lorsqu'il le fait il laisse une odeur fétide derrière lui. Il est gros et moche. C'est le genre de type qui vit avec sa mère jusqu'à l'âge de 40 ans et qui passe sa vie devant un écran d'ordinateur, ou quelque chose dans ce genre.
    
    Il a des cheveux noirs, gars et emmêlés, une barbe crasseuse. Il porte de grosses lunettes noires. Ses dents sont à la fois jaunes et noires. Il porte un tee-shirt orange, sur lequel est marqué « JE SUIS SPARTACUS » qui moule son corps et laisse apparaître son ventre et ses nichons. Il devrait acheter un soutien-gorge, pensé-je. Il me regarde, bouche bée. J'ai oublié que j'étais en bas avec porte-jarretelle et talons hauts.
    
    - Marcus m'a payé un peu pour avoir ta compagnie pendant un moment. Rit M. ALLEN.
    
    - Et je ne verrai pas un sou de cet argent alors que je me fais baiser?
    
    Je devrais vraiment apprendre à me taire. Mes ...
    ... plaintes ont toujours été récompensés par une claque. Et ce n'est pas différent cette fois-ci.
    
    Alors que je m'assois sur mon canapé en frottant ma joue douloureuse, M. ALLEN s'assoit en face et dit :
    
    - Tu peux entrer Marcus, et fermer la porte. Elle est à toi.
    
    Mon voisin s'approche et s'assoit à côté de moi. Son odeur me fait instantanément oublier ma joue brûlante. Il se penche en avant et essaie de m'embrasser. Son souffle est horrible. Je ferme les yeux et essaie de penser à autre chose.
    
    Je sens son visage s'approcher et il m'embrasse doucement les lèvres. Sa barbe crasseuse chatouille ma figure. Il pose ensuite une grosse main joufflue sur ma cuisse, la faisant glisser sur le bas. Je me débats, mais il pousse sa languie dans ma bouche. Sa salive au goût fétide coule sur ma langue et dans ma bouche.
    
    Après ce qu'il me semble une éternité, il retire finalement sa langue de ma bouche. Le goût est encore plus horrible après. Il place ses mains de chaque côté de mes hanches et il tire mon string vers le bas, exposant ainsi ma chatte rasée.
    
    Il retire mon string noir jusqu'à mes chevilles et me l'enlève. Puis il le porte à son nez et prend une longue bouffée de l'odeur résiduelle. Écœurée, je regarde ce reclus social sentir mes sous-vêtements. Puis quand il est satisfait, il met le string dans sa poche.
    
    Pendant ce temps-là, M. ALLEN reste assis avec un grand sourire sur son visage et un piquet de tente dans son pantalon.
    
    Marcus passe alors ses mains sous ...