1. Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps


    Datte: 24/05/2020, Catégories: f, ffh, Collègues / Travail volupté, photofilm, Oral init, Auteur: Nicolas, Source: Revebebe

    ... peu à peu reprenait sa taille antérieure.
    
    Mireille se plaça derrière elle et se mit à la caresser. Le dos, les seins, les fesses d’Aline reçurent la visite des douces mains.
    
    Pierre de son côté ne restait pas inactif, il massait doucement les deux globes en forme de poire, après les avoir repris à sa femme.
    
    Mais Mireille n’était pas satisfaite. Placée comme elle l’était Aline ne lui donnait pas accès à son minou, et elle en avait envie. Elle se rappelait le goût de son amie et aussi ses réactions aux caresses et voulait la faire jouir à nouveau. Elle arracha donc Aline à son activité du moment et malgré ses protestations l’allongea sur le dos.
    
    Pierre et sa femme échangèrent alors un regard d’entente, et il redonna à Aline ce qu’elle venait de perdre, pendant que Mireille prenait possession de son ventre. Tout en se laissant pomper et sucer, l’homme avait repris possession des seins d’Aline. Celle-ci, assaillie de toutes parts commençait à gémir. Elle laissa de côté le sexe de l’homme et s’abandonna aux caresses qui lui étaient prodiguées avec tant de tendresse et de savoir-faire. La langue de son amie lapait entre les lèvres de son sexe, tandis que ses doigts caressaient l’entrée de son vagin, et même son œillet. Elle se sentait ruisseler de désir, elle sentait aussi la langue qui la fouillait recueillir la moindre goutte de sa cyprine.
    
    Aline fit signe à Pierre de s’approcher.
    
    — Ne la laisse pas tomber, caresse-la elle aussi, je veux que nous jouissions ...
    ... ensemble.
    
    Pierre déposa un baiser sur ses lèvres, et chargé d’une bien agréable mission se dirigea vers sa femme.
    
    — Laisse-moi un peu la place, je veux goutter moi aussi. Occupe-toi de ses seins et de sa bouche.
    
    Mireille obéit et s’allongea contre son amie. Pierre avait maintenant à portée de bouche et de mains les sexes des deux jeunes femmes. Il goutta d’abord celui de la rousse qu’il ne connaissait pas encore. Il en apprécia le goût sucré-salé, un peu sauvage. Puis il passa à celui de sa compagne. Il avait un goût un peu différent, un peu plus acidulé, presque un goût de violette.
    
    Il fit installer les deux filles l’une sur l’autre, ventre contre ventre. Il n’avait comme cela que quelques centimètres à faire pour passer de l’une à l’autre. Chacune des filles recevait alternativement des caresses. L’une avec la bouche et l’autre avec les mains et alternativement elles étaient sucées, léchées, fouillées d’une langue exigeante.
    
    Un tel traitement ne pouvait rester sans résultat bien longtemps. L’une comme l’autre déjà excitée par la position dans laquelle elles se trouvaient, chacune caressant le visage, le dos, les seins de l’autre, écartelées et fouillées par des mains habiles, elles approchèrent de leurs plaisirs.
    
    Simultanément elles crièrent leur bonheur, et ensemble elles mouillèrent le visage de Pierre de leurs jouissances. Il continua longtemps de leur prodiguer ses caresses, prolongeant leurs plaisirs autant qu’il le put. Puis il s’agenouilla entre les ...