1. La lettre


    Datte: 23/05/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Totos, Source: Hds

    20h30,
    
    Je rentrais du travail après une longue journée qui se terminait par une réunion, une heure de train puis un autre de 20 minutes et 5 petites minutes de la gare à chez moi avec la voiture.
    
    Je n’étais pas mécontent de rentrer ma voiture au garage, j’allais prendre le courrier dans ma boite aux lettres et je vis qu’il y avait une lettre pour les voisins d’à côtés.
    
    Je fais quoi ? Je l’amène demain ou de suite ? Un dernier effort ? Allais ! Soyons fou.
    
    Bon, il faut savoir que j’ai repris cette maison à mes parents, j’y ai vécu une bonne partie de ma vie et que mes voisins, la voisine, c’est mon ex, elle est venue habitée quelques années après que nous nous mettions ensemble… Je pense que son mari du l’apprendre vu son manque de politesse à chaque fois que l’on se voyait.
    
    Ce n’était pourtant pas une relation qui s’était mal terminé si on laisse de côté le fait que je l’avais quitté, une personne bien, discrète, toujours prête à aider, mais quand il n’y a pas de sentiments…
    
    Je frappais à leur porte, elle vint ouvrir.
    
    - Salut, j’ai ceci qui est arrivé chez moi par erreur !
    
    - Ah merci ! Me dit-elle grand sourire.
    
    - Allais, je rentre chez moi, la journée à été longue.
    
    - Tu ne veux pas rentrer boire un verre ?
    
    Hein ? Ton mec ne va pas beaucoup aimer ! Me dis-je pour commencer et puis a part des bonjours lorsque l’on se croisait, on se parlait plus vraiment, ce qui était plutôt normal.
    
    - Je ne veux pas vous déranger. Dis-je poliment.
    
    - Tu ne ...
    ... me déranges pas, je préparais à manger et j’ai fait bien trop pour moi toute seule, si t’es un peu patient, tu peux manger avec moi, tu viens de rentrer du travail, non ?
    
    - Oui, enfin, je ne veux pas m’imposer.
    
    - Tu ne t’imposes pas, je t’invite.
    
    - Soyons fou.
    
    Et je rentrais, elle passait devant moi, c’est vrai que ça sentait bon, par contre, elle était déjà en pyjama, enfin elle portait un peignoir, blanc, plutôt fin.
    
    Je la regardais, une petite rousse-châtain de 1m58, qui ne pesait pas plus de 52 kg, des crolles… Un joli petit fessier et un petit 85b.
    
    Dommage que j’ai préféré te quitter parce que je n’avais pas de sentiment pour toi, et que tu suçais pas aussi.
    
    Elle m’invitait à m’asseoir, dans le salon, je regardais tout autour de moi, elle me proposait à boire, j’acceptais un verre de vin blanc, lorsqu’elle revint elle s’assit dans le divan en face de moi.
    
    Je pu remarquer sa peau sous son peignoir, au-dessus, elle ne portait rien, je m’efforçais de ne pas penser plus loin, visiblement, ses jambes étaient nues aussi.
    
    - Il ne viendra pas, il ne viendra plus.
    
    - Il est parti ?
    
    - Oui, avec une autre…
    
    - Désolé, c’est pour ça que je suis ici ? Tu avais besoin de compagnie ?
    
    - Peut-être bien oui.
    
    - Si un jour, il te faut du sel, tu peux passer à la maison.
    
    - A mon avis, c’est plus vite toi qui viendra chercher quelque chose qu’il te manque.
    
    - Je pense aussi.
    
    On rigolait alors et je bu mon verre.
    
    Alors qu’on parlait de tout et ...
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