Cocu en jod d'été - Histoires de Sexe

Cocu en jod d'été

Ahhhh l’été : vacances, soleil et … petits boulots. Comme beaucoup, ma copine Eva et moi même, petit couple de 19 ans tous les deux, avons un job d’été pour se faire un peu d’argent. Pour nous pas d’usine mais une propriété agricole ou l’on ramasse des fruits, avec des saisonniers d’âges et d’horizons différents..

Un grand corps de ferme avec de nombreux bâtiments, du terrain et un étang. Certains ont installés des caravanes, d’autres comme nous sont en toile de tente, d’autres encore rentrent chez eux le soir car ils sont du coin. Comme il y a de la place chacun est installé tous les 25 mètres.

Eva est bien foutue avec des gros seins, plutôt à l’aise avec le sexe (pour ses 19 printemps) et n’est pas pudique. Bon elle ne se fout pas à poil non plus devant tout le monde mais vu la chaleur, short ras des fesses, hauts légers et décolletés sont de sortie..Je vois bien que les autres hommes la mate et je suis un peu jaloux. Lui faisant part de ma gêne par moment sa réponse est claire et me remet à ma place :

— « Moi ça ne me gêne pas et franchement il vaut mieux faire envie non ? »

Ma copine est rigolote, n’hésite pas à jouer avec les autres, malgré ma petite jalousie, l’ambiance est bonne et jours à après jours tout le monde se connait, surtout ceux qui restent sur place comme nous, barbecue et petit apéros sont de la partie régulièrement…

Un soir, je reviens dans la pénombre vers la toile de tente et je me rends compte que 4 voisins postés discrètement à une ...

... dizaine de mètres sont en train de mater ma copine ! Celle-ci est en train de se déshabiller à l’intérieur mais avec la lumière de la lampe on devine ses formes en ombre et lorsqu’elle fait passer son haut par dessus la tête et ôte son soutif on voit clairement ses gros nichons ! Je vois les mecs en train de ricaner et se faire signe du pouce.. j’aimerais leur dire qu’ils ne sont pas chier de faire cela mais je ne trouve pas le courage et je reste tapis dans l’ombre.

— « Mais quel minable ! Quel naze ! » me dis-je.

Une fois couchée les mecs repartent en se tapant dans les mains, j’imagine leur conversation. J’en parle à Eva pour qu’elle soit plus discrète et sans surprise, au vu de son comportement depuis qu’elle est ici, celle-ci me répond que ce n’est pas grave et qu’elle trouve cela drôle…

— « Allez c’est pas grave, ils m’ont maté et alors ? En plus certains sont là depuis un moment sans baiser je suis sûr qu’ils ne pensent qu’à ça avec moi ! » me dit elle en ricanant.

Vexé, je souffle et me tourne sur le côté. Voyant qu’elle a été trop loin, elle se colle contre moi et me demande pardon. Débute alors le grand classique de la réconciliation sur l’oreiller. À un détail près, je la baise comme un malade, bande comme un fou, je m’aperçois que la situation m’excite comme un dingue et je les imagine la sautant elle ! MA Eva ! Je cogite le reste de la nuit et me rend compte que j’aime peut-être être cocu malgré la gêne que cela peut me procurer.

Lors des journées de ...