1. Diane et les douceurs automnales


    Datte: 23/05/2020, Catégories: fh, fagée, forêt, campagne, fsoumise, cérébral, Oral fdanus, fsodo, hdanus, init, Auteur: Mim, Source: Revebebe

    L’automne ayant déployé les ors et les roux dans la forêt du Vivarais, Diane s’est souvenue de notre conversation téléphonique de l’été. Elle me rappelle pour me confirmer qu’elle aurait plaisir à rechercher des cèpes en ma compagnie, dans les bois ardéchois de notre connaissance.
    
    Je suis excité comme un jeune chiot et, tout en conduisant, je précise mentalement mes plans, ne pas l’effaroucher, l’écouter, l’installer dans un confort pour qu’elle se détende…
    
    Arrivé devant chez elle, je constate qu’elle est déjà prête. Elle m’attend sur le trottoir en discutant avec une voisine. L’arrivée de ma limousine sombre, ma descente dans une tenue sportive mais élégante, laissent les deux femmes perplexes. Surtout la voisine, en voyant le visage de Diane s’éclairer lorsque je marche vers elle. Je me baisse alors pour lui embrasser les joues qu’elle a lisses et douces en dépit de son âge.
    
    Nous montons ensuite dans la voiture. Confortablement installée dans le vaste siège passager, Diane rosit de plaisir quand elle entend sa copine s’extasier :
    
    — Quelle voiture ! Quel chauffeur ! dit-elle impertinente. Attention à la rosée dans l’herbe ! dit-elle ensuite pour terminer, vicieuse et amère.
    
    Diane ne relève pas l’allusion. Dans sa tête, elle est déjà dans ses montagnes ; moi, je suis déjà couché dans l’herbe à ses côtés, mon sexe tendu.
    
    Nous conversons amicalement, parlant du passé, des enfants, de son mari. Je la sens lasse et désabusée. Cela me réjouit intérieurement, ...
    ... elle sera sans doute plus encline à comprendre mes attentes, et à réaliser mes désirs… Car en dépit de notre différence d’âge, sa libido en sommeil depuis vingt ans, et la liaison qu’entretient son mari avec la bouteille, m’incitent à penser qu’elle ne me dira pas non…
    
    Elle me fait savoir qu’elle est heureuse de passer cette journée avec moi dans un coin que nous seuls apprécions autant. Je surprends, à plusieurs reprises, son regard plein d’intérêt pour ma personne. Très naturellement, elle affirme :
    
    — Tu sais que tu fais un bel homme avec tes tempes grises, et ton corps qui est moins mince que lorsque tu étais ado. Mon fils Eric est chauve et ma fille, qui était ta copine de collège, est obèse.
    
    Je remercie en riant, tout en frissonnant et en me questionnant : "Elle me drague, ou elle joue la maman ? " Remarquez ! Dans les deux cas, ça me va, et dans le deuxième encore mieux, elle résistera, s’offusquera puis se rendra à mes arguments du genre «Y’a pas de mal à se faire du bien". Et là, bonjour l’orgie !
    
    Pour l’instant, je pense que je fantasme un peu vite, en tout cas plus vite qu’elle, mais je joue au type bien éduqué qui sait remercier en lui retournant un compliment.
    
    Je dis alors des mots destinés à tester son degré de réceptivité :
    
    — Pour moi, je vous vois comme lorsque je regardais la mère de mon copain quand j’avais quatorze ans… Vos joues sont toujours aussi douces et votre silhouette toujours aussi élancée.
    
    Ou bien :
    
    — Pour moi, Diane rime ...
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