1. Toujours plus pour Véro/4


    Datte: 07/04/2018, Catégories: Anal Hardcore, Première fois Auteur: ahtile, Source: xHamster

    Après pratiquement quarante huit heures de baises intenses, accompagnées d'orgasmes innombrables, nous décidons que notre dimanche après midi serait studieux. Je quitte donc sa chambre sans oublier de l'embrasser et me retrouve attablé à mon bureau pour tenter de ratt****r un peu du retard accumulé dans le week-end.
    
    Cela fait presque deux heures que j’essaie de travailler, mais ma concentration est perturbée par les images de nos corps enlacés et emboités. Ces images qui s'agitent dans ma tête n'ont qu'un seul effet, celui de me retrouver avec une érection, qui est douloureuse comme rarement. Le grand nombre de rapport en si peu de temps doit y être pour quelque chose. J'écarte mon survêtement et mon caleçon pour me rendre compte que mon gourdin est d'un rouge cramoisi du gland jusqu'à la racine et la seule pression du caleçon le rend difficilement supportable. Je retire mes vêtements pour laisser mon sexe prendre l'air et garde seulement mon T-Shirt quand quelqu'un frappe à la porte. j'hésite à faire comme si j'étais absent, puis rattrapé par mon subconscient, je m'approche de la porte et l'entrouvre tout en restant caché derrière.
    
    Là, je fait fasse au sourire qui illumine mon week-end, Véro se faufile dans ma chambre, je referme la porte à clé dès son entrée. Elle me regarde et me dit:
    
    "Je vois que tu penses à moi, moi aussi, tu me manque déjà." avec son sourire coquin.
    
    " Oui, mais surtout, je ne supporte plus mes vêtements."
    
    Elle s'assoit sur mon lit et me ...
    ... dit:
    
    " Approches, fais moi voir ce qui te fait souffrir, que j'essaie de t’apaiser".
    
    Je me présente à elle, fier, tendu tel un étendard avant le combat. D'une main, elle att**** mes couilles et les malaxe délicatement, de l'autre, elle appui sur ma queue jusqu'à ce que mon gland se trouve à deux petits centimètres de sa bouche. Ses lèvres humides se posent et sa langue caresse merveilleusement l'extrémité de ma matraque. Elle ondule légèrement sa tête tout en faisant tourner sa langue puis introduit mon gland et quelques centimètres de ma queue dans sa bouche. Elle me fait coulisser en elle lentement et je constate qu'après quelques minutes de ce traitement, ma queue disparait presque entièrement dans sa bouche jusqu'à ce qu'elle soit prise de haut-le-cœur. Elle avait déjà ingurgité plus de quinze centimètres et c'était déjà beaucoup. Personne à ce jour, à par ma tante Sophie, ne m'avait autant avalé. Mais elle est persévérante, et après quelques coup contre le fond de sa gorge, je la vois, les larmes aux yeux, enfiler toute ma longueur et mon gland glisser dans son œsophage. Son visage est plaqué contre mon pubis, elle reste quelques secondes immobile, puis reprend ses mouvements. A chaque fois, elle abandonne ma queue, respire à fond et replonge jusqu'à s'écraser le nez contre mon bas ventre.
    
    Ce délicieux supplice ne dure que quelques merveilleuses minutes, je sens mes couilles bouillonner dans ces mains douces, la pression monte, je vais entrer, tel un volcan, en ...
«1234...»