Le plaisir de ma belle-soeur - Histoires de Sexe

Le plaisir de ma belle-soeur

... J’avais une belle érection car j’imaginais aisément que son état supposait qu’elle allait peut-être se masturber.

Je dois dire que j’eus un moment d’angoisse quand elle sembla se diriger vers la porte. Je crus que mon cœur allait s’arrêter de battre. Je n’avais pas le temps de m’éloigner de la porte sans faire de bruit. Qu’allais-je bien pouvoir lui dire ? Heureusement elle s’arrêta avant la porte et éteignit le poste de télévision afin de signaler sans doute qu’il n’était plus question pour moi d’entrer dans la pièce, et qu’elle s’apprêtait à se coucher.

Elle regagna le canapé et j’eus une nouvelle émotion : elle entra dans les draps et couvertures, allongea ses jambes et reprit le livre après s’être confortablement adossée au mur contre un oreiller. J’allais en être pour mon compte et mon érection faiblit. Elle allait se toucher sans que je puisse voir quoi que ce soit. Au bout d’une minute ou deux, elle replia ses jambes sous la couverture et une de ses mains glissa sous celle-ci. Mes craintes se confirmaient. Elle commençait à se masturber, à en juger la position de son bras gauche le long de son buste, tandis qu’elle tenait le livre de la main droite. Je commençais à faire mon deuil d’un spectacle des plus excitants, quand, je ne sais si c’est à cause de la gêne des couvertures dans son entreprise ou à cause de la chaleur du chauffage associée à l’élévation de celle de son corps, elle décida de sortir des couvertures.

Elle s’assit alors en tailleur, le livre ...

... posé sur ses genoux et l’autre main passant sous son long tee-shirt. Je pouvais voir ses jambes jusqu’aux genoux. Je n’avais aucun doute sur l’usage qu’elle faisait de sa main droite. Je ne pouvais néanmoins distinguer quoi que soit au-delà de la naissance de ses cuisses. C’était mieux mais ce n’était pas encore ce que j’attendais et je commençais un peu à désespérer.

C’est à cela que je vois que j’ai mûri. Je sais maintenant, connaissant sans doute un peu mieux les femmes, qu’elle lisait et commençait à fantasmer, à se créer un scénario et qu’elle se contentait de commencer à stimuler son clitoris.

Après avoir tourné quelques pages, elle posa le livre ouvert à côté d’elle, se retourna, reprit le livre qu’elle posa ouvert sur l’oreiller contre lequel elle s’était adossée précédemment et s’allongea sur le ventre en remontant le tee-shirt à sa taille, passa une main sous elle et commença, du moins le devinai-je, à se toucher le clitoris, raidissant et décontractant ses cuisses. Je pris mon pénis en main, en prenant soin de ne pas le saisir au bout pour ne pas éjaculer tout de suite, et j’admirai ses jolies jambes et ses fesses dont je voyais les muscles se contracter et se décontracter successivement.

Etant donné sa position, jambes serrées, je ne pouvais qu’imaginer ce qu’elle faisait, ne voyant rien de sa vulve ni de la main qui s’activait. Au bout d’une trentaine de secondes, elle commença à onduler du bassin latéralement puis verticalement ce qui me permettait de voir ...